Réseau Environnement Santé, délégation Occitanie
Délégation Occitanie
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L’émission « Environnement et Santé » sur RCF Pays Tarnais
Présentée par Isabelle Galkine, Journaliste RCF Pays Tarnais, et Nathalie Ferrand-Lefranc, Déléguée Régionale Occitanie Réseau Environnement Santé.
Les dernières émissions
Pollution air
lundi 7 octobre 2019 Présentée par Isabelle Galkine, Nathalie Ferrand
La pollution à l’arsenic dans le département de l’Aude.
lundi 9 septembre 2019 par Isabelle Galkine, Nathalie Ferrand
L’épigénétique: l’impact de l’environnement sur nos gènes.
lunid 24 juin 2019 par Isabelle Galkine, Nathalie Ferrand
Retrouvez toutes les émissions en cliquant ici
Lundi 20 mai 12h00 Perturbateurs endocriniens et masculinité
Lundi 11 mars à 12h00 La charte des Villes et Territoires sans Perturbateurs Endocriniens
Lundi 11 février 12h00 : Environnement et santé. Les couches pour bébé.
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50 kg de déchets verts brulés = autant de particules fines que 14 000 Km en voiture !
450 euros d’amendes pour qui brûlera ses déchets verts dans son jardin
Efficacité de l’action associative, amplifiée par l’effet domino administratif ! Les incinérations sauvages et brûlis de déchets verts sont interdits chez les particuliers et professionnels
Lire ici le court document de présentation de la DREAL Occitanie (Direction Régionale Environnement Aménagement Logement), à diffuser à tous les élus
Rappel de nos actions
En 2015, Canopée et Réseau Environnement Santé (RES) écrivent au Préfet pour lui rappeler que l’incinération des déchets verts, et autres, est interdite par la réglementation française. C’est aussi une forme de gaspillage de la biomasse, et d’autres préfets l’ont bien compris, mais le nôtre, Louis Laugier, ne réagit pas. Au printemps 2018, RES interpelle les trois députés aveyronnais sur divers problèmes d’environnement dont celui de l’incinération. La députée, Anne Blanc (Circonscription de Villefranche) s’empare du sujet et interpelle la préfète, Catherine Sarlandie de La Robertie. Celle-ci, réagit en demandant de diffuser un document rédigé par la DREAL Occitanie (Direction Régionale Environnement Aménagement Logement): « Ne brûlons plus nos déchets ». Ce document reprend ainsi l’esprit de certains documents que nous avions pu observer dans d’autres départements. Dans ce jeu de domino, on peut se féliciter aussi au final de ce retour d’information qui nous a été aimablement transmis par l’agence de Rodez de l’ARS (Agence Régionale de Santé).
En conclusion, l’action collective d’associations avec un peu d’obstination finit par agir auprès de nos élus et de notre administration, c’est réjouissant.
Rappel technique
Sans rentrer ici dans la chimie de la combustion, pourquoi l’incinération des déchets verts et autres est-elle interdite, bien que fortement pratiquée au quotidien par nombreux de nos concitoyens ? En fait, la combustion, même de substances naturelles comme les végétaux, émet de nombreuses substances toxiques (hydrocarbures polycycliques, dioxines, PCB …) transportées sur les particules fines. Cette toxicité a d’ailleurs été bien visualisée et ressentie lors des incendies récents de Californie. A plus
petite échelle, la pollution des brûlis de déchets verts et autres vient donc s’ajouter à celle apportée par la circulation automobile. En plus, cette pratique réduit la matière organique tant utile à la conservation de l’humidité des sols qui va devenir de plus en plus recherchée.
Bernard Petit pour Canopée et RES -25/11/2018
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Précarité et accès à la santé bucco-dentaire : colloque au Sénat le 21 juin
Dr Nathalie FERRAND-LEFRANC, Chirurgienne dentiste et Déléguée Régionale Occitanie du Réseau Environnement Santé a participé à la table ronde du colloque « Précarité et accès à la santé bucco-dentaire » organisé par l’ASPBD le 21 juin 2019 au Sénat.
Pour le Réseau Environnement Santé, 3 idées fortes émergent des interventions que nous venons d’entendre :
- Amener la santé à la personne
- Redonner confiance aux personnes en précarité
- Ces personnes ont besoin d’accompagnement.
Ces trois points tournent autour de la reconsidération de l’humain, dans sa dimension de personne, et dans la dimension de la relation entre deux humains (soignant-soigné), entre humains. L’humain dans son environnement.
Ce qui implique :
- De travailler avec les associations de terrain, avec des relais qui ne sont pas forcément des soignants. Et de travailler les transversalités entre soignants.
- De ne pas réduire la santé aux soins. L’accès aux soins a été considéré comme un objectif (il est facile à évaluer). Or l’accès aux soins ne garantit pas l’accès à la santé. Parce qu’il n’est pas toujours utilisé par des personnes dont les priorités de survie n’intègrent pas la santé. Parce que le suivi des soins demande de l’énergie, de la connaissance du parcours de soins et de la prise en charge.
L’accès à la santé demande d’abord une réponse humaine avant une réponse technique : reconnaître l’autre comme faisant partie de l’humanité, comme étant son frère en humanité.
Les déterminants de santé sont multiples. Les connaître et les reconnaître permet d’actionner d’autres leviers, de s’adresser à d’autres acteurs de santé, à d’autres financements.
Pour le Réseau Environnement Santé, la santé environnementale doit être au cœur des politiques publiques, ce qui amène à s’interroger sur nos modèles actuels d’activités humaines : ces types d’énergies, de modes de déplacement, d’agriculture, sont-il compatibles avec la santé des humains et des éco-systèmes ?
L’explosion des maladies chroniques nous oblige à interroger ces paramètres environnementaux, car nos régimes de protection sociale ne pourront pas suivre. Objectif santé : comment être moins malades, physiquement mais aussi psychiquement ?
Pour articuler les politiques publiques, les acteurs médicaux et sociaux, les plateformes, il faut se fixer le bon objectif qui est l’accès à la santé (et non pas seulement aux soins) pour tous en humanité (et non en technicité).
Une urgence est de former les professionnels de soins et de petite enfance à la santé environnementale, de façon à être des relais auprès des femmes enceintes et des jeunes parents, car la période la plus sensible aux perturbations hormonales est en priorité la période fœtale, ainsi que la petite enfance et l’adolescence.
Cette prévention primaire est à faire pour tous, avec une attention particulière pour les personnes en précarité grâce à un accompagnement adapté.
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[Albi 20 nov. 2019] Colloque professionnel Perturbateurs Endocriniens et Petite enfance
Santé publique France a publié le 3 septembre 2019 un rapport concluant à la contamination par les perturbateurs endocriniens de 100% des Français, les enfants étant plus touchés que les adultes.
Des études de plus en plus nombreuses montrent qu’un enfant exposé pendant la grossesse aux niveaux les plus élevés aura des risques sanitaires plus élevés comme l’hyperactivité, le déficit d’attention, le trouble autistique, le retard de langage, le diabète, l’obésité, l’asthme, les anomalies génitales et, à l’âge adulte, les cancers hormonodépendants.
« LES PERTURBATEURS ENDOCRINIENS SONT UNE MENACE MONDIALE À LAQUELLE IL FAUT APPORTER UNE SOLUTION » :
c’est le constat du rapport publié en 2012 par l’OMS et le Programme des Nations Unies pour l’Environnement. Les professionnels de la petite enfance sont en première ligne pour protéger au mieux les générations futures de cette menace. C’est l’objet du colloque scientifique d’Albi.
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21 nov Ramonville (31) : conférence perturbateurs endocriniens lors de Semaine de la réduction des déchets
Pour la deuxième année, Ramonville organise des animations du 16 au 24 novembre pour sensibiliser le public à la nécessité de réduire la quantité de déchets générés au quotidien.
Dans la logique de la charte villes et territoires sans perturbateurs endocriniens signée par la commune en mai 2019, André Ciolella, chimiste toxicologue et président du Réseau Environnement Santé animera une conférence « impact des perturbateurs endocriniens sur les enfants » le 21 novembre à 19 h 30 au Cinéma L’Autan.
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Opération Zéro Phtalates à Ramonville-Saint-Agne
Lors de la signature de la charte d’engagement Villes et territoires «sans perturbateurs endocriniens» le 17 mai der- nier, trois élu.e.s municipaux de Ramonville et un membre d’une association partenaire ont participé à une opération de dosage dans les cheveux de deux substances chimiques, le DEHP et le DBP, représentatives d’une grande famille de perturbateurs endocriniens : les phtalates.
L’objectif était de rendre visible cette pollution invisible pour mettre cette problématique de santé publique au cœur du débat public.
Les résultats aujourd’hui disponibles reflètent la contamination quasi-totale des personnes prélevées sur une période de plusieurs mois par le DEHP avec une grande variation de concentration. Cette molécule est emblématique des per- turbateurs endocriniens dans la mesure où elle induit les grandes maladies chroniques chez l’enfant et l’adulte, prin- cipalement après exposition pendant la grossesse (obésité, diabète, troubles de la reproduction et du comportement, cancer du sein, asthme….). Elle est classée cancérogène et toxique pour la reproduction et interdite en conséquence en Europe dans plusieurs usages comme les cosmétiques et les jouets.
Les phtalates sont principalement utilisés en tant que plastifiants des PVC mais on les retrouve également dans l’ali- mentation, l’environnement intérieur, les cosmétiques, les dispositifs médicaux et les médicaments, les vieux jouets en plastique… L’organisme humain les élimine tous les jours, il est donc possible de diminuer de façon importante la contamination en les éliminant à la source, grâce à des gestes simples (choix des cosmétiques, de l’alimentation, aéra- tion et nettoyage régulier des lieux de vie, etc.).
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L’Occitanie s’engage contre les perturbateurs endocriniens
A l’occasion d’une matinée d’information et de mobilisation pour aller vers un territoire sans perturbateurs endocriniens organisée à l’Hôtel de Région de Toulouse, Michel Boussaton, conseiller régional délégué à la santé et représentant Carole Delga, interviendra en ouverture de l’évènement et signera la Charte « Villes et territoires sans perturbateurs endocriniens » aux côtés d’André Cicolella, président du Réseau Environnement Santé, et en présence de l’Agence Régionale de Santé Occitanie.
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Les actions du Département de la Haute-Garonne pour réduire l’exposition aux perturbateurs endocriniens
Le 28 octobre, Georges Méric a signé la charte d’engagement Villes & Territoires « sans perturbateurs endocriniens » en présence de Jean-Michel Fabre, vice-président en charge du Développement Durable, d’André Cicolella, président du Réseau Environnement Santé, de Gérard Bapt, médecin-cardiologue et député honoraire, d’Ana Soto, lanceuse d’alerte et pionnière dans la recherche des perturbateurs endocriniens, chercheuse à la Tufts University de Boston et de Nathalie Ferrand-Lefranc, chirurgien-dentiste, déléguée régionale Occitanie et membre du bureau national du Réseau Environnement Santé.
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Béziers : les perturbateurs endocriniens seront traqués dans les cantines de la ville
La Ville de Béziers agit en se mobilisant contre les perturbateurs endocriniens.
En présence de Robert Ménard, maire de Béziers et de Nathalie Ferrand, déléguée régionale Occitanie du Réseau Environnement Santé, la charte »Ville sans perturbateurs endocriniens » a été signée le mardi 14 mai à 17h en salle des mariages de l’Hôtel de Ville.
La Ville de Béziers est déjà fortement impliquée dans la mise en œuvre d’actions en matière de santé environnementale : »zéro phyto » dans les espaces verts dès 2017, utilisation de produits d’entretien éco-labellisés pour le nettoyage des grands sites municipaux, diagnostic de la qualité de l’air intérieur dans les crèches…
Elle s’engage à lutter contre ces substances notamment dans les restaurants scolaires et par la mise en place de critères d’éco-conditionnalité dans ses marchés et achats.
Dès le 14 mai, la Ville de Béziers s’engage à lutter contre les perturbateurs encdocriniens notamment dans les restaurants scolaires.
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Le Tarn est le premier département à signer la charte
Suite au vote du 27 mars par le Conseil Départemental du Tarn, Monsieur André CICOLELLA, président du Réseau Environnement Santé, et Madame Nathalie FERRAND-LEFRANC, Déléguée Régionale Occitanie, ont cosigné le 16 avril, à l’hôtel du Département, la charte « villes et territoires sans perturbateurs endocriniens » avec le Président du Département du Tarn Christophe RAMOND.
Les conséquences des perturbateurs endocriniens ont été exposées par monsieur CICOLELLA à plusieurs niveaux : exposition des femmes enceintes, maladies chroniques, effets transgénérationnels. Un plan départemental d’actions va être mis au point qui abordera plusieurs champs dans des dimensions allant de l’information-prévention-sensibilisation à la fixation de critères d’éco-conditionnalité dans la commande publique.
Des actions en direction du grand public sont à prévoir comme envers les agents départementaux et les publics de la protection maternelle et infantile, des collèges… Alimentation, ustensiles de cuisine, couverts, produits d’entretien, bâtiments départementaux font partie des cibles que les Conseillers départementaux vont examiner prochainement.
Revue de presse
- Comment le Tarn veut chasser les perturbateurs endocriniens / ladepeche.fr / 16 avril 2019
- Le Tarn veut devenir le 1er département sans perturbateurs endocriniens / positivr.fr / 16 avril 2019
- Environnement : le Tarn bannit les perturbateurs endocriniens / leparisien.fr / 6 avril 2019
- Le Tarn fait la chasse aux perturbateurs endocriniens / up-inspirer.fr / 3 avril 2019
- Le Tarn se mobilise contre les perturbateurs endocriniens / journaldelenvironnement.net / 1 avril 2019
- Le Tarn veut être le premier département sans perturbateurs endocriniens / lefigaro.fr / 28 mars 2019
- Le Tarn veut faire la chasse aux perturbateurs endocriniens / ladepeche.fr / 28 mars 2019
- Le Tarn veut être le premier département sans perturbateurs endocriniens / techniques-ingenieur.fr / 28 mars 2019
- Le Tarn veut être le premier département sans perturbateurs endocriniens / linfodurable.fr / 28 mars 2019
- Le Tarn, premier département à s’engager contre les perturbateurs endocriniens/ ouest-france.fr / 28 mars 2019
- Le Tarn veut devenir le premier département sans perturbateurs endocriniens / toulouseinfos.fr / 28 mars 2019
- Le Tarn va s’engager jeudi à devenir le premier département sans perturbateurs endocriniens / francetvinfo.fr / 27 mars 2019
- Le Tarn en passe de devenir le premier département sans perturbateurs endocriniens / francebleu.fr / 27 mars 2019
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Dans le Tarn, des élus du Séquestre font analyser leurs cheveux pour y chercher des phtalates
L’été dernier, Le Séquestre était la première commune du Tarn à s’engager dans la lutte contre les perturbateurs endocriniens.En décembre 2018, ses élus se prêtaient à un prélèvement de cheveux pour déterminer la présence de phtalates dans leur organisme.
Les phtalates sont des molécules chimiques dont la propriété est de rendre plus souples les matières plastiques. Omniprésents dans les emballages, ils se dégradent au contact de l’acide ou de la chaleur et leur ingestion est responsable de troubles de la fécondité masculine.Les résultats des analyses viennent de paraître. Ils révèlent la présence de phtalates chez toutes les personnes testées.
« Les phtalates sont des perturbateurs endocriniens qui vont mettre la pagaille dans tout le système hormonal. Et les cheveux gardent une mémoire de la contamination, résume Nathalie Ferrand-Lefranc, co-déléguée Occitanie Réseau Environnement Santé. Donc une mèche de trois centimètres représente une contamination sur trois mois. . »
« L’enjeu de la santé est un enjeu sur lequel nous, les élus de terrains, pouvons intervenir parce que ça concerne l’alimentation, affirme Gérard Poujade, maire du Séquestre. Et qui dit alimentation dit crèches, cantines, centres de loisir… donc l’objectif, c’est de contribuer à cette meilleure santé et de faire passer le message. »
Revue de presse
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[ Agir avec les professionnels de santé] « Vers une dentisterie sans Perturbateurs Endocriniens »
Chercheurs, praticiens, fabricants et représentants institutionnels ont débattu ce jeudi 23 juin autour du thème « Vers une dentisterie sans Perturbateurs Endocriniens » à l’invitation de Nathalie Ferrand.
Une première en France, le point de départ d’une nouvelle dynamique : celle d’une profession sensibilisée et prête à agir pour lutter contre l’impact des Perturbateurs Endocriniens et plus spécifiquement contre celui du Bisphénol A et de ses substituts.
Le constat posé, des solutions sont à trouver ensemble ont relevé l’ensemble des intervenants.
Cette envie de protéger patients et professionnels donnera lieu à de nouvelles rencontres, nous vous tiendrons bien entendu au courant !
Les Actes du colloques « Vers une dentisterie sans Perturbateurs Endocriniens »
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Conférences le 13 avril à la salles des fêtes de Rodez
avec le Dr Laurent Chevallier et Bernard Petit du Réseau Environnement Santé
Semaine d’exposition sur les perturbateurs endocriniens
Nous ferons un historique de ces substances en prenant l’exemple du BPA qui a été utilisé en biberon, puis nous parlerons des maladies suspectées en relation avec ces substances et enfin nous donnerons des conseils pratiques pour les éviter le plus possible.
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LES PERTURBATEURS ENDOCRINIENS
Une préoccupation pour l’avenir de l’humanité
L’union des associations Culture & Patrimoine d’Espalion
le 6 octobre 2018 – 20h30 – Salle de la Gare,
Depuis quelques années les medias évoquent souvent, mais de manière superficielle, les perturbateurs endocriniens qui interfèrent avec nos hormones naturelles. Des liens incontestables entre ces substances chimiques et certaines maladies (diabète, obésité, infertilité, cancers…) sont aujourd’hui avérés par de nombreuses études scientifiques.
L’association Réseau Environnement Santé (RES) (www.reseau-environnement-sante.fr) rassemble des scientifiques de toutes disciplines, des associations de malades et est ouverte à tous. Elle a fortement contribué à l’interdiction du bisphénol A dans notre pays et sa mission
principale est de transmettre les connaissances scientifiques reliant environnement et santé auprès d’un large public et des élus.
Bernard PETIT, ancien responsable Recherche & Développement matériaux, avec 35 ans d’expérience dans divers grands groupes industriels, nous fera partager son approche scientifique de ces substances puisqu’il a été lanceur d’alerte à l’égard du bisphénol A et de certains biocides dans le cadre de ses missions.
Adhérent au RES dès sa création en 2009, aux côtés de médecins et cadres de l’INSERM, il est aujourd’hui membre du bureau national et co-délégué pour l’Occitanie où il intervient régulièrement comme conférencier.
Cette soirée permettra d’éclairer chacun sur ce sujet complexe et d’être ainsi mieux informé sur les meilleures attitudes à adopter pour protéger le plus possible son patrimoine santé et ménager au mieux notre environnement.
Lire l’article qui résume la conférence ici
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VENDREDI 14 SEPTEMRE 2018, L’ASSEMBLÉE NATIONALE A VOTÉ
POUR L’INTERDICTION DES PLASTIQUES À LA CANTINE
UNE VICTOIRE CITOYENNE POUR LA SANTÉ DES ENFANTS ET DE
L’ENVIRONNEMENT !
L’association Cantine sans plastique France soutenue par les Fédérations de Parents d’élèves FCPE, PEEP, l’Association des parents d’élèves indépendants, l’Association santé environnement France et Réseau environnement santé, La Ligue contre le
Cancer, Génération Cobayes, Générations Futures, Surfrider Foundation, Zéro Waste France, la Ligue des Droits de l’Homme, la CGT Educ’Action 06, salue le vote unanime de nos représentantes et représentants à l’Assemblée nationale pour l’amendement n°923 à la loi n°1175 sur l’Équilibre dans le secteur agricole et alimentaire
Lire le communiqué en cliquant ici
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«Si on ne fait rien, on risque de ne plus avoir de petits occitans à l’horizon 2040 !»
- « Les cancers de la prostate ont été multipliés par quatre en une seule génération. C’est une épidémie mondiale”, rappelle le toxicologue André Cicolella. Un coupable est totalement oublié par les autorités sanitaires : l’environnement. Et notamment les perturbateurs endocriniens.
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Entretien avec André Cicolella
toxicologue, chercheur en santé et environnement, à qui l’ondoit l’interdiction du Bisphénol A.En tant que président du Réseau Environnement Santé (RES), il organise le 4 juin prochain à la Grande Halle de L’Union, en partenariat avec le collectif blog assistance médicale à la procréation (BAMP!) un colloque scientifique gratuit et public sur l’infertilité :
Lire l’entretien avec André Cicolella
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Affiche-A3-Infertilite
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Passages radiophoniques
Y aura t’il encore des petits occitans en 2040? juin 2018
Le ruthénois Bernard Petit co délégué du réseau environnement santé qui organise le colloque lundi à l’Union près de Toulouse est notre invité.
L’ air, attention danger ? avril 2015
A l’intérieur, à l’extérieur notre air est souvent pollué, on en parle avec Bernard Petit de l’association Canopée 12, Bernard ancien ingénieur est aussi membre du réseau environnement santé.
Environnement et Santé, mars 2015
Bernard Petit membre du réseau environnement santé et ingénieur chimique retraité vient nous parler d’alimentation dans cette émission.