Ligue des droits l’Homme – actualités – presse

Actualités 

 

 

DÉCLARATION DE MANIFESTATION

Qui?

Trois personnes physiques, donnant leurs noms, prénoms et domiciles (et contacts) remplissent le formulaire de déclaration de manifestation ; depuis la loi du 10 avril 2019, il suffit de la signature de l’une d’entre elles (article L. 211-2 CSI). Elles peuvent indiquer pour quelle organisation elles déposent cette déclaration.

 

Quand?

Il faut déposer au moins trois jours francs avant la date prévue de manifestation et au maximum 15 jours avant.

On commence à compter le lendemain du dépôt (1er jour) et on peut manifester le lendemain du 3ème jour franc. Mais si le dernier jour tombe un samedi, dimanche, ou jour férié ou chômé, il faut reporter le dernier jour au premier jour ouvrable suivant.

Ex. : pour manifester le samedi 21 novembre, il faut déclarer au minimum le mardi 17. Pour manifester le dimanche 22, idem car si on déclare le mercredi 18, le 3ème jour tombe un samedi ; or, on ne compte ni le samedi ni le dimanche, donc la manifestation ne pourrait avoir lieu que le mardi suivant.

 

Quoi?

Il faut déclarer le but de la manifestation, le lieu, la date et l’heure du rassemblement des groupements invités à y prendre part et, s’il y a lieu, l’itinéraire projeté.

Du fait de la lutte contre l’épidémie de covid-19, il faut s’engager dans un formulaire spécifique à intégrer dans l’appel à manifestation le rappel des gestes « barrière » (port de masque (répondant aux spécifications de l’Afnor 2), friction des mains avec un gel hydroalcoolique et distanciation physique d’au moins un mètre), prévus par le décret n°2020-1310 du 29 octobre 2020 (article 1er et annexe 1) et s’engager à effectuer ce rappel régulièrement le jour du rassemblement. Il peut être exigé de disposer de gel hydroalcoolique et de masques.

Mieux vaut se rapprocher de son agence régionale de santé (ARS) pour connaître les dispositions recommandées dans son département.

Il peut être exigé par exemple le rappel qu’en cas de symptôme de la maladie, il ne faut pas venir à la manifestation (idem pour les personnes « cas contact »). Ou l’absence de distribution de tract, pour éviter la propagation de l’épidémie.

 

Où?

La déclaration est faite « à la mairie de la commune ou aux mairies des différentes communes sur le territoire desquelles la manifestation doit avoir lieu » ; « au représentant de l’Etat dans le département en ce qui concerne les communes où est instituée la police d’Etat » (article L.211-2 CSI).

A Paris et pour les communes des départements des Hauts-de-Seine, de la Seine-Saint-Denis et du Val-de-Marne, elle est faite devant le préfet de police de Paris.

Le texte prévoit que le principe est une déclaration devant la mairie mais il a vieilli au regard de l’organisation actuelle de la police d’Etat, de sorte qu’en réalité, la déclaration se fait en général devant le préfet du département.

 

Conséquences

L’autorité compétente remet immédiatement un récépissé. Si elle ne le fait pas, cela n’empêche pas la tenue de la manifestation. Désormais, il arrive qu’elle envoie seulement un mail attestant avoir reçu la déclaration.

Le but est seulement de pouvoir justifier avoir déposé la déclaration pour ne pas être poursuivi pour organisation d’une manifestation non déclarée (article 431-9 du code pénal). Gardez également une copie de la déclaration pour pouvoir justifier qu’elle était bien complète (même texte du code pénal).

 

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Guide : “Que faire si une femme victime de violences intrafamiliales vous demande de l’aide ? « ,  issu d’un collectif de plusieurs associations aixoises dont la LDH du Pays d’Aix-en-Provence

A destination des professionnel-le-s : « Très souvent, une femme victime de violences est terrorisée, elle a peur de parler, elle a honte de ce qui lui arrive, elle a très peur de représailles envers elle ou envers ses enfants. Il est donc essentiel de la rassurer, de l’écouter, de bien entendre sa demande et de l’adresser, si elle est prête, à des associations compétentes pour la prendre en charge et l’orienter dans ses démarches. »

 Lire le guide

 

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Visioconférence : “La protection des femmes victimes de violences conjugales”, organisée par la section de Metz

https://framaforms.org/la-protection-des-femmes-victimes-de-violences-conjugales-1605187755

 

Le mercredi 25 novembre à 18h30 sur Zoom. Avec Grâce Favrel, avocate au barreau de Paris.

Depuis 2016, plusieurs lois sont intervenues pour faciliter l’identification et la prise en charge des victimes de violences conjugales. La loi du 28 décembre 2019 offre en particulier un certain nombre d’outils pour mieux protéger les victimes de violences conjugales. L’objectif de la formation est de présenter ce nouvel arsenal juridique afin d’aider les participants à mieux repérer, soutenir, informer, accompagner et orienter les victimes.

 Organiser / partager une visio-conférence-débat

Cette forme de conférence peut se faire sur Zoom, avec une préinscription au préalable afin de transmettre le lien de diffusion aux inscrits. Il est également possible de solliciter des intervenantes et intervenants LDH auprès de direction@ldh-france.org

 

 

POUR METTRE UN TERME AUX VIOLENCES SEXUELLES ET SEXISTES

Communiqué LDH

A Paris, rassemblement de 12h à 14h à République
(
LIRE L’APPEL UNITAIRE DONT LA LDH EST SIGNATAIRE)

Partout dans le monde, des femmes se battent contre les violences sexuelles et sexistes, dont les enfants sont les victimes collatérales.  En France aussi, nombreux sont celles et ceux qui combattent ce fléau et la libération progressive de la parole des femmes permet enfin une meilleure visibilité de réalités longtemps occultées. Sur le plan législatif, plus de sept textes censés protéger les femmes ont été votés au cours de ces vingt dernières années. L’actuel président de la République, prétendant faire de la lutte contre les violences sexuelles et sexistes « La grande cause de son quinquennat », a apporté sa pierre à l’édifice juridique avec le vote de la loi du 3 août 2018. Et pourtant… Ces violences ne sont toujours pas éradiquées, les chiffres en témoignent : en 2019, les violences ont augmenté de 16 % par rapport à 2018 et, pour 2020, elles sont d’ores et déjà en pleine explosion. Tout comme elle aggrave les inégalités sociales, la pandémie qui frappe la planète fragilise particulièrement les femmes et le confinement est incontestablement un facteur qui amplifie les violences intra-familiales.

Il appartient à la société tout entière d’agir pour que, de 8 mars en 25 novembre, nous ne fassions pas toujours les mêmes constats accablants. C’est pourquoi la LDH appelle à participer aux différentes initiatives qui auront lieu partout en France, ce 25 novembre.

Partout, nous dirons notre exigence de voir se mettre en place une politique qui conjugue, dès le plus jeune âge des filles comme des garçons, prévention et éducation. La construction des masculinités et leur toxicité doit être interrogée. Il faut aussi veiller à l’application des lois et la protection des victimes. Aucun de ses aspects ne doit être négligé, cela implique le développement considérable de moyens humains et financiers. Le Grenelle contre les violences sexistes n’a malheureusement pas été à la hauteur des espérances que la communication gouvernementale avait entretenues. Les mesures prises ne peuvent suffire.

Enfin, à l’occasion de cette journée, nous dénonçons les menaces qui pèsent sur le 3919, cette ligne d’écoute anonyme et gratuite qui permet information et orientation. Aujourd’hui, en période de confinement, ce numéro fait l’objet d’environ 5 000 appels par jour. Un tel dispositif ne doit pas être livré au marché et aux calculs froids de la rentabilité : parfois, il en va de la vie même de celles qui y ont recours ! SIGNER LA PÉTITION : SAUVONS LE 3919, SOUTENONS LES ASSOCIATIONS DE LUTTE CONTRE LES VIOLENCES FAITES AUX FEMMES

Paris, le 24 novembre 2020

 

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Stop à la Loi Sécurité Globale


Manifestation citoyenne
 

Jeudi 26 novembre 2020 à 18h

 

Départ : monument aux combattants de la Haute-Garonne,

Allées Forain-François Verdier à Toulouse.

https://www.facebook.com/events/203887404527021

 

Dans des conditions de débat dégradées, indignes d’une démocratie, le Parlement a engagé le 17 novembre dernier l’examen d’une proposition de loi sur la « sécurité globale » qui, dans différents articles, porte atteinte aux droits et libertés des citoyennes et citoyens.

A cette occasion, ce sont les forces vives de notre pays qui se sont très fortement mobilisées ces derniers jours dans de nombreuses villes encadrées par des forces de l’ordre appliquant un nouveau schéma national du maintien de l’ordre qui a engendré de nombreuses limitations à la liberté de manifester.

Mardi 17 et samedi 21 novembre, toulousaines et toulousaines ont exprimé en grand nombre leur refus de ce texte et plus largement contre la mise en œuvre de textes et de mesures toujours plus sécuritaires et liberticides.

Entrave au droit à l’information, au droit à manifester, au contrôle citoyen sur la mise en œuvre de l’autorité publique, surveillance policière toujours plus poussée, élargissement croissant des pouvoirs des polices municipales et des sociétés privées de sécurité … assez !

Nous appelons à nouveau les toulousaines et les toulousaines à exprimer pacifiquement dans l’espace public leur opposition à de telles dérives et à manifester jeudi 26 novembre.

 

Premiers signataires de l’appel à manifester :
CGT 31, Collectif Reporter en Colère REC, CNT 31, DAL Toulouse 31, EELV Toulouse, Ensemble 31, Fondation Copernic Toulouse, France Insoumise 31, FSU 31, Gauche Démocratique et Sociale, Génération(s) 31, Groupe des élu.es Archipel citoyen de Toulouse, LDH Toulouse, Libertad-FA, Libre Pensée 31, MRAP 31, NPA 31, PC 31, PG 31, Place Publique 31, POI 31, POID 31, SAF Toulouse, Solidaires, 31, UET Toulouse, Université Populaire de Toulouse …

 

Ce rassemblement déclaré en préfecture, se déroulera en application du décretn°2020-1310 du 29 octobre 2020, organisé avec rappel de l’application des consignes de sécurité sanitaire.

 

 

Contact presse : Jean-François Mignard – 06 13 82 55 51

ldh.toulouse@gmail.com

 

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LDH GT SANTÉ BIOÉTHIQUE
REVUE D’ACTUALITÉ URGENCE
SANITAIRE

1er au 15 juin 2020
Lettre hebdo n°9 devenant bimensuelle

 

Lire ici

 

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Demande de régularisation des personnes étrangères sans papiers sollicitant un titre de séjour

Rodez, le 30 mai 2020

Les Associations soussignées Mom ô chaud, Jamais sans toit, le Mouvement pour une alternative Non violente Aveyron, la Ligue des Droits de l’Homme Section de Rodez
et le Comité C atholique Contre la Faim et pour le Développement Terre Solidaire

à Madame la Préfète de l’Aveyron

Objet : Demande de régularisation des personnes étrangères sans papiers sollicitant un titre de séjour

 

Lire ici

 

Extraits : « La pandémie à laquelle nous faisons face aujourd’hui a mis au grand jour les i négali tés sociales, économiques et sanitaires qui minent notre société. D ans cette pério de, la situation des personnes sans papiers est des plus inquiétantes. L’absence de titre de séjour les pri ve de l’accès aux droits sociaux fondamentaux tels que le d roit a u travail, au logement, aux prestations sociales, et l’état d’urgence sanitair e dém ultiplie leur précarité.
Durant le confinement , l’absence de logement à leur nom font des personnes sans papiers l es victimes
potentielles de l’épidémie davantage que le reste de la population.
Si leur sort a pu réapparaître dans le débat public aujo urd’h ui, c’est uniquement en termes de santé publique, et les quelques solutions apportées ici ou là pour permettre à certain/es d’obtenir un lieu d’hébergement plus conforme aux exigences sanitaires ne sont qu’un pis aller, au demeurant très provisoire.
Cet état de fait présente un risque important qui interroge l’intérêt général de notre population. Par ailleurs, ces personnes fortement désireuses de travailler, peuvent participer utilement à la reprise du développement écono mique et s ocial.
La situation de ces personnes auxquelles l’État n’a pas accordé le droit au séjour est le résultat d une politique migratoire toujours plus restrictive et déshumanisante , d u c hoix du no n accueil, du primat de la logique utilitariste sur celle de l’égal ité et du respect d e la dig nité humaine. »

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Vote sur la mise en oeuvre de l’application StopCovid,

lettre du Président national de la LDH aux députés, le 25 mai 2020

 

Lire ici

Extraits :

Mesdames les députées, Messieurs les députés,
Le 24 avril, nous vous avions exposé les raisons de s’opposer à la mise en oeuvre de l’application de suivi de contacts StopCovid, destinée à lutter contre la pandémie de Covid-19 et présentée comme une application de déconfinement.
Après des discours contradictoires du gouvernement, les débats et le vote ont finalement été reportés au mercredi 27 mai.
Qu’avons-nous appris de nouveau sur cette application qui aurait pu vous convaincre de voter favorablement ? Rien !

(…)

La question de l’anonymat reste posée
L’application StopCovid serait installée volontairement sur les smartphones à partir des « magasins » GooglePlay ou de l’AppleStore, et un serveur central sécurisé générera des pseudonymes stockés sur les smartphones qui enregistreront, toujours grâce au Bluetooth, les pseudonymes des smartphones à proximité desquels (au moins un mètre) ils seront restés au moins quinze minutes.
Lorsqu’une personne aura été testée positive, elle pourra alerter les personnes qu’elle a croisées, en partageant son pseudonyme et ceux des personnes croisées
qui se trouvent dans son application avec la base de données centrale. Or le propre d’un pseudonyme est qu’il n’est qu’une technique permettant de cacher l’identité au plus grand nombre mais qu’il reste toujours un moyen de retrouver l’identité en question.
Une donnée totalement anonyme n’est plus une donnée à caractère personnel, or le fait que le gouvernement demande l’avis de la Commission nationale de l’informatique et des libertés (Cnil) confirme bien qu’il s’agit de données personnelles. Par ailleurs tous les utilisateurs ont pu constater que lorsqu’ils installent une application à partir de ces « magasins » gérés par Google ou Apple ils « offrent » de gré ou de force des données personnelles à ces entreprises, ce qui n’est pas anodin pour cette application.

(…)

Les problèmes liés au Bluetooth demeurent
En plus de risque de piratage, cette technologie n’est pas fiable quant à la mesure des distances. De plus elle est « aveugle » aux barrières protectrices que représentent un mur, une vitre séparant deux personnes porteuses d’un smartphone, ce qui risque de générer de fausses alertes, et elle ne fonctionne pas lorsque ce dernier est en mode veille.
La question de l’efficacité reste posée dans la mesure où, pour que l’objectif de StopCovid soit atteint, il faudrait qu’au moins 60 % de la population utilise l’application et que tout le monde dispose d’un smartphone (or seulement 77 % des Français en avaient un en 2019) et, même si le gouvernement étudie encore à ce jour les possibilités de rendre StopCovid accessible au plus grand nombre grâce à des solutions alternatives au smartphone, il est fort peu probable que 60 % de la population utilise StopCovid…

 

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MARCHE MONDIALE POUR LE CLIMAT

 Rassemblement pour le  climat 14 mars 2020. – 10h à 11h 30

Carrefour Saint Etienne RODEZ

 

Dans le cadre des marches internationales des 13 et 14 mars 2020

le collectif  12 ensemble pour le climatdont la LDH Rodez fait partie,

organise une action samedi 14 mars à 10 h

carrefour Saint Étienne à Rodez.

Par un geste symbolique, à la veille des élections municipales, nous rappellerons l’importance de la prise en compte de l’urgence climatique dans tous nos choix de vote.

Nous inviterons les citoyens à se mobiliser et inciter leurs élus à avancer rapidement dans ce sens tout au long de leur mandat.

Temps fort et prises de parole vers 11 h

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La Ligue des droits de l’Homme
s’adresse aux candidats aux élections municipales de mars 2020.

 

Télécharger ici le tract « Démocratique »

une démocratie vivante avec toutes et tous, une démocratie élargie, une démocratie délibérative, une démocratie indépendante des lobbys, le soutien à la vie associative et aux actions solidaires.

Télécharger ici le tract « Libre et cibercitoyenne »

une société du soupçon généralisée, des technologies qui permettent le meilleur mais aussi le pire : les fichiers, la vidéosurveillance et la reconnaissance faciale, l’intelligence artificielle face à l’humain, la dématérialisation des services source de discriminations.

Télécharger ici le tract « Accueillante ouverte »

promouvoir l’égale liberté de toutes et tous, construire le “vivre-ensemble”, garantir la neutralité et prévenir les tensions.

Télécharger ici le tract « Juste »

 repenser les voies de la légitimité de la police, permettre un accès au droit pour toutes et tous.

Télécharger ici le tract « Fraternelle et solidaire »

droit au logement, à l’éducation, la santé, le soutien à la vie associative et aux actions solidaires, la volonté de coopérer pour l’emploi, les mêmes droits pour toutes et tous.

Télécharger ici le tract « Ecologique et durable »

 repenser l’action publique, favoriser la démocratie environnementale.

 

Lettre de la LDH de Rodez aux candidats

La campagne pour les élections municipales de mars prochain est ouverte dans un contexte de fortes tensions sociales et politiques. Ces élections locales sont une opportunité d’expressions citoyennes, à saisir de manière apaisée, pour engager des changements de fond, pour rénover les pratiques et pour offrir des réponses de proximité aux difficultés quotidiennes.

Bien que les conditions de notre vie quotidienne soient déterminées par les choix politiques nationaux et internationaux, la commune n’en reste pas moins le lieu où l’égalité et l’effectivité des droits sont fondamentales, au service de l’intérêt général et sans discrimination (en matière de logement, de soins, d’accès au travail, d’éducation et de culture, d’environnement, de mobilité..). Les choix politiques locaux sont importants pour améliorer notre quotidien et pour retisser du lien social.

La LDH demande donc aux personnes candidates de préciser les mesures qu’elles comptent prendre sur les points suivants :

  • Politique urbaine et foncière facilitant la construction de logements sociaux. Hébergement des personnes en situation de précarité (françaises et étrangères, de façon inconditionnelle c’est-à-dire quelle que soit leur situation administrative) pour palier les insuffisances du 115 souvent saturé.

  • Création de conseils de résidents associant, aux décisions qui les concernent, toutes les personnes (jeunes gens et habitants de nationalité étrangère, quel que soit leur statut), qui ne peuvent pas participer aux élections.

  • Contribution de la commune pour une amélioration de l’accès aux soins, sans discrimination.

  • Aménagement de la ville et organisation des transports, pour faciliter les déplacements (y compris des personnes en situation de handicap) tout en réduisant leurs impacts sur l’environnement.

  • Aménagement de lieux d’accueil (équipements de quartiers) permettant le développement de projets participatifs intergénérationnels et des actions solidaires locales (voire internationale).

  • Quant à la sécurité, celle-ci se construit par des pratiques sociales, des moyens humains, des systèmes de solidarité entre générations, territoires et catégories sociales. Vivre en sécurité est un projet qui relève fondamentalement du politique et non du technologique ; l’idée qu’il serait possible, en généralisant les outils de surveillance de construire une société du « risque zéro », conduit à faire accepter aux citoyennes et citoyens des restrictions des libertés et des atteintes à la vie privée. Pour le Défenseur des droits, «Aucune organisation administrative, aucune évolution technologique ne peut être défendue si elle ne va pas dans le sens de l’amélioration des droits, pour tous et pour toutes».

  • Adhésion à l’Association Nationale des Villes et Territoires Accueillants (ANVITA – Mail : contact@villes-territoires-accueillants.fr /Site web : villes-territoires-accueillants.fr) qui a pour mandat d’accompagner des municipalités souhaitant s’inscrire dans une politique d’accueil adaptée et leur permettant de répondre aux impératifs de l’urgence et de l’accompagnement des personnes migrantes sur le court, moyen et long terme.

Les équipes candidates aux prochaines élections peuvent adresser leurs réponses à ldhrodez@gmail.com , sur leur site de campagne ou par voie de presse.

 

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Le Conseil d’État valide sans sourciller le fichage des mineur∙e∙s non accompagné∙e∙s

Paris le 6 février 2020

Lire ici en PDF

 

Communiqué commun

Le Conseil d’État, dans une décision du 5 février, rejette le recours porté par nos organisations contre le décret du 30 janvier 2019 sur le fichier d’appui à l’évaluation de la minorité (AEM), refuse de reconnaître les atteintes portées aux droits des mineur-es non accompagné-es et fait ainsi primer la lutte contre l’immigration irrégulière sur les droits de l’enfant.

 

Un risque accru d’expulsions illégales de mineurs

En ne prenant pas en compte les principes essentiels de présomption de minorité et de droit au recours effectif, le Conseil d’État laisse toute latitude aux préfectures pour expulser des personnes qui devraient être présumées mineures tant que le juge des enfants ne s’est pas prononcé sur leur situation. Il considère que la protection des enfants étrangers contre les mesures d’éloignement prévue par la loi « ne fait pas obstacle à ce qu’une mesure d’éloignement soit prise par l’autorité administrative à l’égard d’une personne dont elle estime, au terme de l’examen de sa situation, qu’elle est majeure, alors même qu’elle allèguerait être mineure ».

Il entérine ainsi la possibilité pour l’administration d’expulser un-e jeune qui demande protection en raison de sa minorité et de son isolement dès lors qu’un département l’a considéré-e comme majeur-e, le plus souvent à l’issue d’une procédure d’évaluation sommaire fondée sur des critères subjectifs. Et peu importe au Conseil d’État que le ou la jeune n’ait pas pu exercer de recours devant le juge des enfants. On sait pourtant que – dans certains départements – la moitié des mineur∙es qui saisissent ce juge voient finalement leur minorité reconnue.

Tout au plus, le Conseil d’État consent-il à évoquer la possibilité pour le juge administratif saisi d’un recours contre la mesure d’éloignement de surseoir à statuer quand il a connaissance d’une saisine préalable du juge des enfants mais seulement « si une telle mesure est utile à la bonne administration de la justice ». De même, il peut aussi décider de poser une question préjudicielle à l’autorité judiciaire mais uniquement « en cas de difficulté sérieuse ». Ces précisions ne constituent en rien des garanties contre le risque d’expulsion d’enfants en danger par l’administration.

 

Contrôler avant de protéger

Nos organisations constatent que – dans de nombreux territoires – l’application du décret a pour effet de laisser à la rue des enfants en demande de protection pendant toute la procédure en préfecture. Le Conseil d’État prend acte de cette réalité et rappelle à juste titre qu’« il incombe aux autorités du département de mettre en place un accueil provisoire d’urgence pour toute personne se déclarant [MNA], sans pouvoir subordonner le bénéfice de cet accueil [à la mise en œuvre de la procédure prévue par le décret] ».

Il vide toutefois de tout son sens le principe de l’inconditionnalité de l’accueil provisoire en précisant qu’une telle obligation s’applique « sous réserve des cas où la condition de minorité ne serait à l’évidence pas remplie ».

 

Des pseudo-garanties qui ne suffiront pas

Le Conseil d’État précise que « la majorité de l’intéressé ne saurait être déduite de son seul refus de communiquer les informations » aux agents de la préfecture. Il rappelle également qu’il ne suffit pas qu’un-e jeune apparaisse comme majeur-e dans l’une des bases de données consultées en préfecture pour qu’il ou elle soit évalué-e comme majeur-e. Aussi utiles qu’elles soient, ces précisions ne suffiront malheureusement pas à préserver les mineur-es d’un refus de protection arbitraire de la part de certains départements. Pour preuve, alors que le Conseil constitutionnel avait déjà pris soin de préciser ce point, nombreux sont les protocoles signés entre les conseils départementaux et les préfectures qui mentionnent « l’impossibilité [pour le jeune] de refuser de communiquer [ses données personnelles] à l’agent de préfecture habilité ». La notice d’information actuellement distribuée aux jeunes reprend cet énoncé contraire aux textes.

Alors qu’environ 70 départements mettent déjà en œuvre ce dispositif et qu’un mécanisme d’incitation financière a été annoncé par le premier ministre, nos organisations sont extrêmement inquiètes du sort réservé à ces enfants en situation de grande vulnérabilité.

Nous constatons qu’ils sont de moins en moins nombreux à se rendre dans nos permanences. Globalement, leur état de santé se dégrade et les suspicions de cas d’exploitation augmentent. Autant de signes qui confirment nos craintes que ces enfants et adolescent-es, dissuadé-es de demander une protection par un tel dispositif, restent exposé-es à tous les dangers. Nos organisations persistent à demander le retrait de ce décret et appellent tous les départements, chefs de file de la protection de l’enfance, à renoncer à participer à ce dispositif.

Paris, le 6 février 2020

 

Signataires : Avocats pour la défense des droits des étrangers (ADDE), Association nationale des assistants de service social (Anas), Armée du salut, CNAPE, DEI France, Fédération des acteurs de la solidarité, Fasti, Fédération entraide protestante, FEHAP, Gisti, Hors la rue, la Cimade, la Ligue des droits de l’Homme (LDH), Médecins du monde, Médecins sans frontières, Mrap, Secours catholique, Solidaires, Syndicat des avocats de France, Syndicat de la Magistrature, Unicef France

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« De Clovis à Briand : la laïcisation de la France

et de nos jours la laïcité en actes » 

Le lundi  9 décembre à 20h30, maison des associations, 15 avenue Tarayre 12000 Rodez

Voir l’affiche ici

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Journée internationale des migrant-e-s

le 18 décembre :

liberté, égalité des droits

 

Appel à la mobilisation de plusieurs organisations, dont la LDH,

Nous, collectifs de sans-papiers et migrant-e-s, syndicats, associations et Marche des solidarités appelons à des manifestations et rassemblements dans tout le pays le 18 décembre à l’occasion de la Journée Internationale des migrant-e-s.

Nous marcherons toutes et tous ensemble, contre la montée des nationalismes, des racismes et des fascismes qui s’étendent sur l’Europe et le monde. Nous marcherons aux flambeaux en mémoire des dizaines de milliers de femmes, hommes et enfants mort-e-s sur les routes de la migration victimes des frontières et des politiques anti-migratoires des gouvernements des pays les plus riches de la planète et de leurs complices.
Nous marcherons pour en finir avec ces mort-e-s, pour la liberté de circulation et la fermeture des centres de rétention.
Nous marcherons contre l’idée que l’immigration crée du dumping social, pour la régularisation des sans-papiers et pour l’égalité des droits.
Nous marcherons pour la ratification par la France de la « Convention internationale sur la protection des droits de tous les travailleurs migrants et des membres de leur famille » adoptée par l’ONU le 18 décembre 1990 et qui vise à garantir l’égalité de traitement entre travailleurs français et immigrés.
C’est la précarisation générale, la remise en cause des acquis sociaux par les politiques d’austérité menées par nos gouvernants qui nourrissent les sentiments de mal-être et de repli sur soi dans la population. C’est en luttant ensemble que nous pourrons nous battre efficacement pour une société meilleure et égalitaire.

Premiers signataires : Cispm, CSP75, CSP Paris 20, CSP 17-St Just, Intégration 21, Collectif Schaeffer Aubervilliers, Droits devant !! / CGT, Union syndicale Solidaires, CNT, CNT-SO, Émancipation tendance intersyndicale, Syndicat de la Magistrature / Assemblée des blessé-e-s, Association Bread and Roses, Acort, ACTIT, AFAPREDESA, ADTF, AMF, AIDDA, Association Kolone, Association Stop précarité, ATF, ATMF, Attac, Collectif 20e Solidaire avec tou-te-s les migrant-e-s, CADTM, Collectif 3 C, Collectif Faty Kumba, Collectif Rosa Parks, Collectif pour l’avenir des foyers, Collectif solidarité migrant-e-s Paris centre, Collectif de soutien de l’EHESS aux sans-papiers et aux migrant-e-s, CRLDHT, D’ailleurs nous sommes d’ici 67, DAL, Fasti, FETAF, FTCR, Fondation Frantz Fanon, Gisti, Identité plurielle, IPAM-Cedetim, LDH, Mouvement pour la dignité et les droits des Maliens, Mrap, Organisation de femmes égalité, Paris d’exil, RESF, REMCC, Réseau IDD, UTAC, UJFP, United migrants, Vies volées, ZSP18 / Revue Vacarme / AL, Ensemble, EÉLV, Mouvement Écolo, NPA, PCF, PCOF, SKB…

Télécharger l’appel en PDF

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Appel au rassemblement mardi 12 novembre

à 18h devant la FAC de Rodez, av. de l’Europe

 

Rassemblement en solidarité avec l’étudiant de 22 ans de l’Université Lyon 2, qui s’est immolé par le feu vendredi après-midi devant un bâtiment du Crous, à Lyon.

Brûlé à 90%, son pronostic vital est engagé, selon le procureur de la République de Lyon. Le jeune homme, entre la vie et la mort, avait posté un message sur Facebook pour expliquer son geste «irréparable» : il n’arrivait plus à s’en sortir financièrement.

Le jeune homme, 22 ans, a posté un message sur Facebook avant de s’immoler : « Aujourd’hui, je vais commettre l’irréparable. Si je vise le bâtiment du Crous à Lyon, ce n’est pas un hasard, je vise un lieu politique, le ministère de l’enseignement supérieur et de la recherche, et par extension le gouvernement« .

Un geste désespéré. Terrible. Cri de colère, de douleur et de désespérance d’une jeunesse privée d’un vrai avenir. Adressons à ce jeune homme les plus vifs souhaits de rétablissement et notre solidarité, à ses proches, à ses camarades, notre plus fraternel soutien.

La Ligue des Droits de l’Homme dénonce les difficultés des étudiants

L’accès des jeunes à l’ensemble des droits sociaux est aujourd’hui à construire.

Les chiffres récents montrent que, d’une manière générale, les jeunes sont plus exposés que leurs aînés à la précarité. À partir des années 1980, la durée des études s’est allongée, mais en même temps l’entrée des jeunes sur le marché du travail s’est faite plus tardivement, plus difficilement aussi pour ceux qui sortent du système scolaire sans qualification. Les inégalités sociales et les inégalités de genre entre les jeunes ont tendance à se creuser selon leur origine sociale et leur zone de résidence, et leur niveau de vie relatif tend à décroître comparé à celui des générations précédentes, au point que de plus en plus de jeunes vivent en dessous du seuil de pauvreté. 

Près de trois millions d’enfants vivent dans des familles en dessous du seuil de pauvreté et près d’un quart des 18-25 ans connaissent des situations de grande précarité, qu’ils soient étudiants, apprentis ou chômeurs. Pour beaucoup d’entre eux, la survie quotidienne, l’accès à l’éducation, aux soins, au logement, à la culture, relève d’un véritable parcours du combattant, indigne d’un pays comme le nôtre.

En matière d’éducation et de formation, il est inacceptable que le poids des origines sociales détermine la réussite scolaire. Ces inégalités ne sont pas le fruit d’un quelconque déterminisme, comme certains sont prêts à l’avancer, mais le fruit d’une politique qui a délibérément mis à mal le service public d’éducation.

 

 

Lettre du jeune postée sur Facebook

Agrandir ici

 

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Le 11 NOVEMBRE : remise de gerbe aux monuments aux morts à Rodez, pour les fusillés pour l’exemple, après la cérémonie officielle vers 10h30.

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 Le 20 NOVEMBRE, JOURNEE DES DROITS DE L’ENFANT

Il y a 30 ans, la France ratifiait la Convention internationale des droits de l’enfant (Cide). Cette Convention pose le principe selon lequel l’intérêt supérieur de l’enfant doit être une considération primordiale dans toutes les décisions qui concernent les enfants.
A l’occasion de cet anniversaire, l’UNICEF avec le soutien d’autres associations, dont la section LDH de Rodez, accueillera près de 300 enfants à la salle des Fêtes de Rodez de 9h à 16h30.

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JOURNEE POUR L’ELIMINATION DES VIOLENCES FAITES AUX FEMMES

À l’occasion de cette journée internationale (25 novembre), la Ligue des Droits de l’Homme et ses partenaires organisent le samedi 23 novembre à la maison des associations de Rodez une journée dédiée au thème « lutter contre les violences sexistes et sexuelles », avec des expositions réalisées par des scolaires , une projection/débat du film « Female Pleasure » le soir au Club, et un concert.
(Le programme de la journée vous sera envoyé ultérieurement).

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RENDEZ-VOUS ANNUEL DU FESTIVAL DES SOLIDARITES 

Voir l’affiche ici

Le collectif FESTISOL à Rodez est actuellement composé des associations suivantes : LDH, CCFD, MAN, ARTISANS du MONDE, VIE NOUVELLE. Cette année, son action est orientée sur la solidarité avec les mineurs étrangers, en faisant le lien avec la réalité locale.

Le 26 novembre à 20h30 à la Doline (Sébazac-Concourès), un débat est prévu après la projection du

film “J’ai marché jusqu’à vous”

suivi du film “Défi de solidarité”

et avec la participation de l’association Môm O Chaud, qui informera sur son réseau d’hébergeants en Aveyron.

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La section de la Ligue des droits de l’Homme de Rodez a le plaisir de vous inviter à participer à une

conférence-débat sur le projet de loi bioéthique

le mardi 1er octobre à 20 heures 15

avec Philippe LAVILLE du Comité Central de la LDH

( salle de réception de la Maison des Associations.  15, avenue Tarayre à Rodez).

Le projet de loi, relatif à la bioéthique,est actuellement en discussion à l’assemblée nationale.

 La Ligue des Droits de l’Homme formule une série de propositions pour améliorer le texte

et Philippe LAVILLE, du groupe de travail Santé-Bioéthique de la LDH,

sera à même de répondre à vos questions et d’engager le débat sur les enjeux de ce texte.




La LDH soutient l’action des salariés et de leurs organisations syndicales pour défendre un système de retraite solidaire.

Jeudi 3 octobre à 17 h 30 à Rodez – Bourran

Rassemblement pour la justice sociale, fiscale et climatique

« La Ligue des droits de l’Homme, parce qu’elle considère les droits sociaux comme des droits de l’Homme à part entière, soutient pleinement les mobilisations syndicales ».

Elle considère que le système par répartition est le seul à garantir les droits pour tous. Si une réforme est nécessaire, celle-ci doit supprimer les inégalités existantes, par exemple entre femmes et hommes, elle doit tenir compte de la situation des salariés précaires et de ceux qui effectuent les travaux les plus durs.

Dire aujourd’hui que la baisse du montant des retraites est inévitable, c’est passer sous silence l’effrayante inégalité des revenus et des patrimoines. Et c’est surtout refuser de répartir différemment des richesses toujours aussi concentrées dans les mains d’une minorité de plus en plus étroite.

Pour le bureau

Marisol Garcia Vicente




Soirée de mobilisation pour la justice climatique, sociale et fiscale à l’occasion de la grève internationale pour le climat

Samedi 21 septembre 2019 10h00 à Rodez

Départ de la place des Ruthènes.

À diffuser largement, merci

En ce moment même, des milliers de citoyens partout en Europe se préparent à rejoindre la plus grande mobilisation pour le climat de l’histoire.

De fait, si nous sommes des milliers à défiler dans les rues des villes européennes, à une semaine de l’entrée en fonction des nouveaux commissaires européens, cette mobilisation pourrait bien faire date et marquer un tournant important dans la bataille contre le chaos climatique.

C’est pour cela que de nombreuses associations se sont réunies ensemble sous la bannière du collectif 12 ensemble pour le climat afin de participer à ce mouvement international.

En serez-vous ?
Rejoignez la mobilisation

Parce que chaque personne compte, nous comptons sur vous

pour démontrer à nos gouvernants que la lutte pour le réchauffement climatique n’est pas une option.

Nos enfants et petits enfants comptent également sur notre engagement pour leur futu

Le collectif « 12-ensemble-pour-le-climat » vous invite à une soirée de mobilisation pour la justice climatique, sociale et fiscale à l’occasion de la grève internationale pour le climat





Vendredi 24 mai à 18h au jardin public à Rodez

Diverses actions sont prévues :

  • Prise de parole.
  • un « die in », geste symbolique pour préfigurer l’extinction de l’espèce humaine et chacun privilégie des vêtements noirs ou sombres.
  • Un apéro partagé, chacun apporte quelque chose. (Zéro déchets à laisser sur place)
  • De la musique…





Loi « anti-casseur »Rassemblement le samedi 13 avril à 11 h Place de la Préfecture contre ce projet de loi liberticide, qui prétend supprimer le droit constitutionnel à manifester.

  • À Paris et dans toute la France il y a un appel à manifester contre ce projet de loi liberticide, qui prétend supprimer le droit constitutionnel à manifester.
  • À Rodez nous répondrons à cet appel par un rassemblement le samedi 13 avril à 11 h Place de la Préfecture.

 Que vous soyez signataires ou pas nous vous sollicitons pour mobiliser vos adhérents et sympathisants, et pour diffuser l’information le plus largement possible.  Le 13 avril est une date décisive qui demande la participation de toutes et tous pour défendre le droit de manifester ; soyons au rendez-vous pour une mobilisation réussie et envoyer un message fort.

POINT IMPORTANT : Le rassemblement aura lieu le samedi à 11 h pour prendre en compte la manifestation de 14 h programmée par les  organisations syndicales de l’Usine Bosch.

Pour le bureau de la LDH

Le président : Jacky Burzala

Lire ici le communiqué commun à 50 organisations, associations, et syndicats

Fiche pratique  : Nos droits en manifestations






Le collectif 12 ensemble pour le climat vous invite à la Marche internationale pour le climat Pour la justice climatique, sociale et fiscale. samedi 16 mars 10h 30 à Rodez

Départ du jardin public devant le kiosque.Défilé en centre-ville, prises de paroles, puis pique-nique tiré du sac au jardin public. Que chacun et chacune porte la couleur verte sur soi

12ensemblepourleclimat@gmail.com

https://www.facebook.com/Collectif-12-ensemble-pour-le-climat-701350490261823/




 

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