Enfants, adolescents, écrans et Champs Électromagnétiques (CEM)

Enfants, adolescents, écrans, système éducatif et champs électromagnétiques

 

Voir aussi la rubrique :« Le Désastre de l’école numérique »

En fin de page, panorama des études et avis médicaux, éléments d’argumention

 

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Intro :

 

Champs électromagnétiques

ce qu’il faut savoir

  prospectus à télécharger sur la 5G, la WIFi, l’électricité, les normes et l’industrie du doute….

Lire ici

 à compléter par

 le prospectus à télécharger sur les écrans, les enfants et les champs électromagnétiques:

Télécharger ici

 

 

Toutes les informations sur la santé et les recommandations pour les enfants et dans le système éducatif :

voir le dossier de synthèse « effets non-thermiques des CEM » mis à jour en mai 2020 :

Cliquer ici

 

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Pourquoi lever les yeux ?

Par l’association Lèves les yeux

https://www.levelesyeux.com/pourquoi-lever-les-yeux/

Il se vendait en 2017 environ 50 smartphones par seconde dans le monde, soit 4,3 millions par jour, 130 millions par mois et plus d’1,5 milliards par an. Depuis que vous lisez cette page, il s’en est déjà vendu plus de 1 500… C’est en Chine qu’on trouve le plus grand nombre d’utilisateurs de smartphones (713,31 millions) devant l’Inde, les États-Unis, le Brésil et la Russie. Avec 42,4 millions d’utilisateurs de smartphones, la France se situe à la onzième place mondiale. En 6 ans seulement, on est passé de 17% de Français équipés à 73%.

(…)

Le temps d’écran des Français a littéralement explosé depuis une dizaine d’années pour occuper désormais les deux tiers du temps éveillé en moyenne. En 2012, il était d’environ 5h40 en moyenne par jour. En 2019 il atteint un peu plus de 10h, et jusqu’à 11h45 pour les 16-24 ans (ou 13h30 si l’on cumule les différents écrans !) selon les chiffres du baromètre de la santé visuelle 2019 – OpinionWay pour l’AsnaV. Pour rappel, les journées comptent environ 16 heures éveillées…

(…)

Un quart des étudiants français passent plus de 6 heures par jour sur leur smartphone et 4 étudiants sur 10 se disent incapables de se passer de leur smartphone pendant une journée. Ce constat d’impuissance constitue la définition de l’addiction, qui « se définit comme la dépendance d’une personne à une substance ou une activité génératrice de plaisir, dont elle ne peut plus se passer en dépit de sa propre volonté. Elle est probablement liée à une libération d’endorphines dans la circulation sanguine en rapport avec le plaisir procuré, c’est d’ailleurs ce qui la différencie du comportement obsessionnel compulsif. » (def.)

(…)

L’étude des usages montre que le smartphone est devenu le premier support d’accès à Internet, et qu’il se différencie des autres supports par la prééminence du divertissement et de la communication (…) A la différence de l’ordinateur ou de la tablette, les smartphones sont utilisés principalement pour des applications de communication et de divertissement, au premier rang desquelles les réseaux sociaux, les messageries instantanées, les jeux et les vidéos.

(…)

90% du temps mobile est passé dans les applications (Flurry Yahoo). En 2017, 197 Milliards d’applications ont été téléchargées, avec en première place les applications de jeux

(…)

Les concepteurs de ces trois produits embauchent des neuropsychiatres pour les aider à façonner des mécanismes cognitifs d’addiction. Indépendamment des injonctions à l’équipement en smartphone et à son renouvellement, on trouve donc aujourd’hui un ensemble de techniques de captation de l’attention (la « captologie » regroupe ces techniques, racontées notamment par Tristan Harris, ancien employé de Google, au sein du Center for Humane Technology). D’un côté de l’écran, des équipes composées d’ingénieurs, de spécialistes marketing et de neuroscientifiques experts dans l’art de la captation de l’attention. De l’autre côté, des personnes de plus en plus jeunes et de plus en plus seules, en quête de shoots de « dopamine ».

(…)

Pour l’usager, cela se traduit par le renseignement obligatoire des informations de paiement, le renouvellement automatique de ces paiements, des algorithmes de recommandation, des moteurs de recherche auto-complétifs, par le déclenchement automatique des vidéos, la suggestion automatique des contenus, l’intégration automatique de publicité, les systèmes de notifications PUSH, le scroll infini, etc. Ces innovations fonctionnelles ont toute en commun de réduire l’activité consciente des usagers, au prétexte de lui faciliter la vie. C’est l’effet « pilote automatique ». Cette automatisation permet en outre la remontée continue des données qui sont ensuite valorisées pour du ciblage publicitaire.

(…)

Il y a d’abord la nocivité sur le développement neurologique des enfants. Le cerveau est une matière malléable et en formation jusqu’à 25 ans environ. La surexposition aux écrans a des conséquences visibles sur la formation physiologique du cerveau, et fait peser sur nous une menace anthropologique planétaire. Michel Desmurget recommande de ne pas mettre en contact nos enfants avec un écran avant 6 ans (et surtout pas de smartphone), et le moins possible après… C’est aussi la recommandation de l’Organisation Mondiale de la santé.

Ces retards dans le développement neurologique se traduisent par des troubles de l’attention, une prévalence de l’obésité et des retards de langage (lire Michel Desmurget, la Fabrique du crétin digital), sans parler de la nocivité des ondes sur la mémoire figurale des enfants qui correspond à la dimension spatiale de la mémoire ;

(…)

On observe également une réduction de nos facultés cognitives déléguées aux outils numériques, en particulier notre mémoire, notre vue (Voir le baromètre annuel de la santé visuelle réalisé par Opinion Way pour l’ASNAV, dont les chiffres sont chaque année plus alarmants), notre capacité de concentration (Voir Bruno Patino, La civilisation du poisson rouge), ;

La surexposition aux écrans influe aussi grandement sur notre sommeil (Voir l’étude publiée par Santé publique France le 12 mars 2019 et l’article dans Nature) avec une baisse en qualité et en quantité de sommeil. Nous avons perdu en moyenne 1h30 de sommeil en 50 ans, pour atteindre 6h42 de moyenne en France en 2019, et l’une des principales causes de ce phénomène est le temps d’écran (Étude Santé publique France du 12 mars 2019).1

Plus largement on constate une érosion générale de nos capacités d’attention et de concentration, avec des conséquences dramatiques sur la convivialité, l’empathie et in fine notre aptitude au bonheur individuel et collectif.

(…)

Une baisse de l’empathie en raison de la réduction des « connexions humaines », qui nous déshabituent des émotions humaines « dans la vraie vie ». Sherry Turkle évalue cette baisse à 40%. Professeure au MIT, elle a étudié pendant 30 ans l’impact des technologies sur les jeunes, et a démontré une baisse de 40% de l’empathie sur une cohorte d’étudiants américains, directement liée à la hausse des usages numériques. (Lire Sherry Turkle, « Seuls ensemble », Éditions de L’Echappée, 2015).

(…)

Le bien être des individus est mis à mal par l’usage intensif des réseaux sociaux, qui substituent des relations humaines fondamentales au bien-être par des relations virtuelles, et érodent l’estime de soi à force de comparaison permanente. Lire notamment les études et articles publiés par la chercheuse américaine Jean Twenge : http://www.jeantwenge.com. Selon elle,  « le nombre d’adolescents américains qui voient un ami au moins une fois par jour a baissé, entre 2000 et 2015, de… 40% ».

(…)

La démocratie en danger : la prise de pouvoir des entreprises du numérique explique aussi la désaffection du politique et notre difficulté à nous engager collectivement, sans parler des difficultés des Etats à rétablir la balance. Soyons conscients de leur pouvoir pour ne pas abandonner trop vite notre souveraineté… Aldous Huxley nous mettait en garde contre l’asservissement volontaire par le divertissement en 1931… Comment s’engager si l’on est distrait constamment ?

 

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ANSES (Agence sanitaire française) 10 ans de rapports sur les signaux et effets pathologiques des basses fréquences, radiofréquences et hyperfréquences artificielles

par le collectif du Vallon

 

Lire ici en PDF

 

Ce panorama commence en 2009 en raison des conflits d’interêts qui ont rendue nulle et non avenue l’expertise de cet organisme entre 2002 et 2009 sur la téléphonie. Les détails ici : https://ccaves.org/blog/fabrication-du-doute-des-industries-des-telecommunications-et-conflits-dinterets/

ou page 60 du dossier de synthèse ci-dessus.

 

Introduction :

Rapports de L’AFSSE (ANSES) France en 2003 et 2005. Rapport de l’IGAS qui dénonce les liens entre experts et industrie : un lien direct et un lien indirect (p.45 livre Forget).

Guy Paillotin, Président du conseil d’administration de l’AFSSE, dénonce au Sénat cette situation : « Je vous admire d’avoir encore de l’espoir en l’Afsse, pour ma part, mon propos sera teinté de désillusion. (…) L’expertise de l’Afsse sur la téléphonie mobile n’a jamais suivi, ni de près ni de loin, les règles que l’Afsse s’est fixées à elle-même ; donc c’est une expertise que je considère, en tant que Président du Conseil d’Administration, comme n’existant pas, n’étant pas le fait de l’Afsse (…). Vous allez me dire que c’est terrible. Eh bien, c’est tout le temps comme ça. Le CA fixe des règles (…) mais comme partout ailleurs, eh bien, on s’assoit dessus. (…) Peut être que l’expertise ressemblera de plus en plus à de la télé-réalité (…) J’ai indiqué récemment (…) que nos expertises ne tenaient pas devant une expertise juridique. » (p. 46 livre Forget)

André Aschieri, député vert qui a fondé l’AFSSE : « Le premier rapport sur les antennes-relais et les portables a été un échec (…) parce que l’étude a été financée en partie par les opérateurs, d’entrée notre volonté d’indépendance était battue en brèche » (p. 51 Forget).

 

 

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Vivre sans portable par choix en étant lycéen

Lire ici l’article

 

 

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Les technologies numériques aliènent les enfants et les adolescents.

 » En 2005, une recherche menée par le fabricant d’équipement informatiques Hewlett packard, à Londres, révèle que le QI des personnes distraites par les courriels et les appels téléphoniques chute de dix points. un impact comparable à la perte d’une nuit de sommeil. (Wilson, 2005) »

 » Les smartphones décuplent interruptions et perturbations. Les utisateurs consultent leut téléphone en moyenne toutes les cinq à douze minutes durant leurs heures d’éveils. Et 72 % des jeunes et 48 % des parents se sentent obligés de répondre immédiatement aux messages et notifications qu’il sreçoivent (Common Sense, 2016). Meme la simple présence de son smartphone déconcentre son propriétaire. »

 » une étude réalisée avec 800 étudiants de l’Université du Texas, à  Austin, aux Etats-Unis, a testé les capacités cognitives de trois groupes : les membres du premier groupe ont laissé leur smartphone à l’entrée de la salle de cours, ceux du deuxième l’ont glissé dans leur poche, ceux du troisième l’ont posé sur la table. Le plus performant est celui dont les membres l’ont laissé àl’entrée de la salle. Conclusion : plus l’appareil est à portée de main, plus il mine les capacité intellectuelles ».

Cité dans La Revue Durable, automne hiver 2019, num 63, page 32.

 

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Sans scrupules, les Gafam extraient l’« attention » de nos vies

Reporterre, 1 février 2020, par l’association Lèves les yeux

Lire ici

 Extraits :  » La professeure de Harvard Shoshana Zuboff : « Il y a une concentration extrême de savoir et de pouvoir. Les capitalistes de la surveillance savent tout de nous, nous ne savons rien d’eux. »

Tristan Harris, ancien « responsable du design éthique » chez Google, se radicalise face à l’absence de réaction publique : la technologie « dégrade l’humain », parce qu’elle a installé « une économie de l’extraction de l’attention ». Son alerte doit être entendue (…)

 

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Adresse aux lycéens

Pourquoi il faut s’opposer à la tyrannie technologique

par Pièces et Main d’oeuvre, 2015

Lire ici

Didier Marsacq, chercheur au CEA (Commissariat à l’énergie atomique) spécialisé dans les micropiles à
combustible pour portables, déclara : « Bien sûr, ces piles coûteront plus cher que le
rechargement d’un téléphone sur une prise électrique, mais nous ciblons les
adolescents, qui sont immatures et moins rationnels, et nous pensons qu’ils
accrocheront au sans-fil total ».

 

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Conférence du Pr Annie Sasco

Experte internationale sur les questions de santé environnementale et d’épidémiologie des cancers

5 G, WIFI, portables, smart city,
ondes artificielles :

Quelles conséquences sur la santé ?
Où en est la recherche ?

Mercredi 22 janvier 2020 à la Menuiserie de Millau à 20h30, organisé et filmé (merci à eux) par les Gilets Jaunes de Millau en partenariat avec les collectifs aveyronnais d’information sur les objets connectés et champs électromagnétiques artificiels.

Ecouter ici

Voir ici :

 

ARVE Error:
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Annie Sasco a cosigné l’Appel International sur le moratoire sur la 5G dont elle a été la coordonnatrice pour l’Europe. Elle est intervenue récemment à Copenhague au Parlement danois, au Sénat américain et à la Chambre des Députés italienne pour évoquer les effets des champs électromagnétiques sur l’humain.

Titulaire d’un Doctorat en médecine de l’Université de Bordeaux et de trois diplômes de Harvard aux Etats-Unis (MPH, SM Epidemiology and Biostatistics, DrPH Epidemiology, Biostatistics and Evaluation), elle est reconnue au niveau international comme experte sur les questions de santé environnementale et d’épidémiologie des cancers.

Elle a travaillé pendant 22 ans au Centre International de Recherche sur le Cancer (CIRC) – Organisation Mondiale de la Santé (OMS) à Lyon, où elle a fondé et dirigé pendant neuf ans le Programme puis l’Unité de Recherche CIRC d’Epidémiologie pour la Prévention du Cancer.

Elle a aussi été pour deux ans Directrice par interim du Programme de contrôle du Cancer de l’OMS, avant de revenir à l’Université de Bordeaux comme Directrice de recherche dans une unité INSERM (Institut National de la santé et de la recherche Médicale). Elle possède une habilitation à diriger des Recherches de l’Université de Lyon.

Elle a travaillé sur des dossiers tels que la « viande aux hormones », les perturbateurs endocriniens divers (pesticides, le distilbène), les champs électromagnétiques (téléphonie mobile, lignes à haute tension) et aussi sur le tabac, le cannabis et les problématiques de mondialisation, environnement et communication en prévention des cancers.

Elle fut en 2005 l’une des quatre Françaises nominées dans le cadre du Prix Nobel de la Paix. Elle a été nommée en 2011 par décret interministériel au Haut Conseil des Biotechnologies (OGM) où elle a siégé pendant trois ans.

Ainsi, « Quand on a les titres et les attributions qui vont avec, c’est plus difficile d’être balayée d’un revers de main», prévient-elle.

Aujourd’hui retraitée, elle continue à titre bénévole ses activités et ses combats pour la santé des populations et pour une recherche qui se doit d’être totalement indépendante

 

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Une médecin alerte sur les dangers des écrans pour les enfants





La surexposition des jeunes enfants aux écrans

par le professeur Daniel Marcelli

Président de la Société Française de psychiatrie de l’enfant et de l’adolescent





Envoyé Spécial 

« L’addiction aux écrans : héroïne numérique »

– France 2 – 18/01/2018

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Mission interministérielle de lutte contre les drogues et conduites addictives, août 2018

Lire ici – un document du gouvernement français sur les précautions à prendre pour les enfants

Source : http://www.drogues.gouv.fr/comprendre/ce-qu-il-faut-savoir-sur/lexposition-aux-ecrans

« Selon des données scientifiques, généralement britanniques ou nord-américaines reprises en France par un site de référence https://lebonusagedesecrans.fr, tel que cité ci-dessous, le temps
passé devant un écran est corrélé à une forme physique moins bonne et à des problèmes de santé mentale et de développement social. Une pratique excessive peut avoir des conséquences :

 sur le développement du cerveau et de l’apprentissage des compétences
fondamentales. Les enfants surexposés aux écrans ont plus de risques de souffrir d’un retard de langage que les autres. Une étude récente menée par des chercheurs québécois et américains a mis en évidence l’impact sur le long terme d’une exposition importante aux écrans dans les premières années de vie. Cette étude a montré que chaque heure supplémentaire passée devant la télévision par un enfant en bas âge diminuait ses performances scolaires à l’âge de 10 ans : moindre intérêt pour l’école, moindre habileté
au plan mathématique. Cette surexposition précoce entraînait également une moindre autonomie, une moindre persévérance et une intégration sociale plus difficile avec notamment un risque accru de souffrir d’une mise à l’écart par ses camarades de classe.
 sur les capacités d’attention et de concentration : ceci est vrai même si l’enfant se trouve dans une pièce avec la télévision allumée sans qu’il la regarde.
 sur le bien-être et l’équilibre des enfants : (…) »

 

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Utilisation du téléphone portable et troubles comportementaux chez l’enfant – Divan HA et al. – Etude américaine – 22/09/2010

Étude sur 28 000 enfants retrouvant les mêmes résultats que sur les 13 000 de la précédente étude : « Les conclusions de la publication précédente ont été reproduites dans ce groupe de participants distinct démontrant que l’utilisation du téléphone portable était associée à des problèmes de comportement à l’âge de 7 ans chez les enfants »

Lire ici

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« Smartphone, pourquoi il rend con »

article de Charlie Hebdo au sujet du  livre « Le troisième cerveau. Petite phénoménologie du smartphone » de Pierre Marc de Biasi, CNRS édition

Lire ici

 

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Les Maternelles : Ondes électromagnétiques 

quels dangers pour nos enfants ?

– France 5 – 06/01/2009

Regarder ici





Un collège-lycée contraint illégalement des enfants à être traçables en permanence

30 juillet 2018 – Il y a dix jours, une lycéenne de l’établissement scolaire privé Rocroy Saint-Vincent de Paul, à Paris, a révélé un changement du règlement intérieur de l’établissement. À compter de la rentrée, chaque collégien et lycéen devra porter sur lui un porte-clef fourni à l’établissement par la start-up française New School et qui permettra de localiser l’élève via une puce Bluetooth intégrée. Voici le résultat de notre analyse juridique et technique de ce système, concluant à son illégalité.
Lire l’article sur le site de La Quadrature du Net

 





Sur BFM-TV, un reportage sur l’influence des écrans,

mis en ligne par l’association Robin des Toits:

https://www.robindestoits.org/VIDEO-Enfants-le-danger-des-ecrans-BFM-TV-17-03-2018_a2478.html





Pédiatres, psys ou enseignants, ils appellent à « éloigner les tablettes des enfants »

Tribune du journal « Le Monde »

Un groupe de spécialistes de l’enfance alerte sur les effets provoqués par l’utilisation des tablettes chez les tout-petits.

Lire ici





Le Monde :

la surexposition des enfants aux écrans est un enjeux majeur de santé publique

Lire ici





Wifi à l’école :

méthode pour s’y opposer par Robin des Toits

Lire sur le site de l’association





Le CRIIREM s’oppose à la Wifi à l’école

Lire ici




VRAI / FAUX sur la téléphonie mobile et le Wi-fi

Voici les arguments des personnes qui ignorent ou contestent la toxicité des émissions type téléphonie mobile (téléphones portables, antennes-relais, Wi-fi, Dect, Bluetooth…) dans son développement technique actuel :

Lire ici sur le site de Robin des Toits les contre-arguments

et ici en version PDF





Prévention pour les enfants du gouvernement de Chypre sur les champs électromagnétique

 

(en anglais) Advice of The Cyprus National Committee on Environment and Children’s Health

 





Taïwan, qui punit d’une amende de 1 400€ un parent laissant son enfant de moins de 2 ans devant un écran !

article sur le journal La Relève et La Peste

« Les ravages de l’addiction aux écrans sur nos enfants »

Lire ici





Revue Alternative Santé

Les enfants du numérique : une génération de « malades » ?

Lire l’article





Bébé sans ondes : danger des ondes sur la santé de votre bébé

Lire ici





Magic maman (et papa aussi…) :

Ondes WiFi : faut-il s’inquiéter pour la santé de bébé ?

Lire ici





Fiction « Monde connecté, corps malades » 

un conseil municipal débat des champs électromagnétiques, des compteurs communicants et de l'(in)intelligence artificielle 

par le collectif du vallon février 2019

 

Lire ici





5G, école numérique, électro-hypersensibilité :

courrier envoyé aux parlementaires, sections locales des syndicats de l’enseignement, fédérations des parents d’élèves, section d’ATTAC et de la CLCV

par la Fédération pour la vie et la Sauvegarde des Grands Causses,  les collectifs aveyronnais du Sud-Ouest Aveyron, du Saint-Affricain, du Nord-Aveyron, de Millau, du Vallon, 15 décembre 2018

Lire ici






Extraits du dossier de synthèse sur les CEM

(à trouver dans la rubrique précédente, chapitre enfants, écrans et CEM )

informations glanées de-ci de-là qui se retrouvent aussi dans le tract proposé en haut de page)

Sources principales (celles non citées sont du livre de Martin Blank) :

– Martin Blank (docteur en chimie physique), « Ces ondes qui nous entourent. Ce que la science dit sur les dangers des rayonnements électromagnétiques », Éditions Écosociété 2016.

– Maître Olivier Cachard, professeur agrégé, Doyen Honoraire de la faculté de Nancy, membre de l’Académie des sciences de Lorraine et de l’Institut Gény : « Le droit face aux ondes électromagnétiques », Lexis Nexis, 2016.

– Maître Richard Forget , « Portables et antennes, mauvaises ondes », Sang de la Terre 2010.

– Catherine Gouhier (CRIIREM), M. Rivasi, M. Layet  « Survivre au téléphone mobile et aux réseaux sans fil », Courrier du Livre 2009.

– CRIIREM, Centre de Recherche et d’ Information Indépendant sur les Rayonnements Électro Magnétiques non ionisants. Site internet, Bulletins Transmission.

– Claude Brossard, Marie Milesi, Michèle Rivasi : « La pollution électromagnétique » Ed. Terre Vivante, 2018

 

 

Les enfants, le système éducatif et les CEM

 

(Sur l’autisme et les troubles du comportement, voir en fin de ce chapitre)

Étude Danoise, septembre 2014 radon et lignes très hautes tension 50 Hertz : augmentation des leucémie infantiles (C.Perdersen et al., « Distance to higth-voltage Power and risk of Childhood leukemia – an Analysis of Counfouding by interaction with other potential risk factors. PLOS One, sept.2014, vol.9). Étude intéressante car signé par l’un des partisans du « circulez, il n’ y a rien à voir » (Priartem lettre 38-39)

 

Martin Blank :« …les enfants grandissent sans arrêt à un rythme accéléré, ce qui signifie qu’il se produit chez eux un rythme beaucoup plus rapide de divisions cellulaires. Par conséquent, l’ADN des enfants est plus vulnérable aux erreurs qui surviennent au cours de la synthèse normale des protéines et tout dommage à leur ADN est plus susceptible de se propager à un plus grand nombre de cellules (par les divisions cellulaires ainsi que les réplications), les étendant ainsi plus loin et plus rapidement dans le corps. Par surcroît, l’os du crâne des enfant est plus mince et offre moins de protection aux neurones du cerveau contre des forces extérieures que ce n’est le cas chez les adultes. Pour empirer encore les choses, des recherches ont montré que la quantité de rayonnement provenant des téléphones cellulaires que les enfants absorbent (l’indicateur DAS) est plus grande que chez les adultes parce que leur conductivité électrique est plus élevée… » (p. 235)

 

L’ANSES (Avis, exposition aux radiofréquences et santé des enfants, juin 2016) :

– reconnaît que les radiofréquences ont un effet possible sur la fonction cognitive et le bien être des enfants (des effets non-thermiques). Elle recommande que les marges de sécurité des limites soient baissées.

– l’exposition aux ondes électromagnétiques de la téléphonie mobile, du Bluetooth et du Wifi peut « provoquer des modifications biologiques sur le corps » et reconnaît des « modifications de l’électroencéphalogramme chez l’adolescent » exposé. (Communiqué Robin des Toits, 20 mars 2018)

– l’ANSES recommande « de dissuader l’usage par les enfants de l’ensemble des dispositifs de communication mobile, par exemple en étendant à ces dispositifs les dispositions réglementaires interdisant la publicité ayant pour but direct de promouvoir la vente, la mise à disposition, l’utilisation ou l’usage d’un téléphone mobile par des enfants de moins de quatorze ans. » https://www.anses.fr/fr/content/exposition-des-enfants-aux-radiofréquences-pour-un-usage-modéré-et-encadré-des-technologies

 

– S. Milham, E.M. Ossiander, États-Unis : électrification du pays corrélée avec hausse des décès. Se basent entre autres sur des études fiables et reconnues sur la leucémie infantile. Pic de leucémie chez les enfants de 3-4 ans lié à l’arrivée de l’électricité. Ce pic est absent en Afrique subsaharienne par exemple (p. 86 Blank op.cit).

 

– OMS 2002 Ceci a conduit l’OMS a classer en 2002 les EBF comme cause possible de la leucémie infantile, ainsi que les radiofréquences en 2011 se basant fortement sur les études épidémiologiques. (p. 87 Blank)

 

– Anses France sur le 50Hzt des fils électriques.

https://www.anses.fr/fr/content/champs-%C3%A9lectromagn%C3%A9tiques-extr%C3%AAmement-basses-fr%C3%A9quences
« En ce qui concerne de possibles effets à long terme, il existe une forte convergence entre les différentes évaluations des expertises internationales (organisations, groupes d’experts ou groupes de recherche), qui se maintient dans le temps. Une association statistique entre exposition aux champs magnétiques extrêmement basses fréquences et leucémie infantile a été observée par différentes études épidémiologiques. Ces études montrent même une bonne cohérence entre elles. Elle est statistiquement significative pour une exposition résidentielle, moyennée sur 24 h, à des champs magnétiques dont les niveaux sont supérieurs à 0,2 ou à 0,4 µT, selon les études. (…) À partir de ces données, le CIRC a classé en 2002 le champ magnétique de fréquences 50/60 Hz comme cancérogène possible pour l’homme (catégorie 2B). »

 

– California EMF Program (Département de la santé de la Californie) Gray Davis Governor State of California Grantland Johnson Secretary Health and Human Services Agency Diana M. Bontá, R.N., Dr.P.H. Director Department of Health Services

RAPPORT FINAL JUIN 2002 Une Évaluation des Risques Possibles des Champs Électriques et Magnétiques (EMFs) de Lignes à haute tension, Téléphonie Interne, Occupations Électriques (métiers) et Appareils électriques Prepared by Raymond Richard Neutra, M.D. Dr.P.H.Vincent DelPizzo, Ph.D. GDE Geraldine M. Lee, Ph.D.

Résumé : Les critiques du département de la santé de l’état de Californie ont établit leurs conclusions sur la responsabilité des EMF sur certaines maladies ci-dessous :
Leucémies infantiles (à partir de 0.1 microTesla)
Leucémies adultes (à partir de 0.2 microT)
Ou le danger probable
Cancer du cerveau
Fausses-couches (à partir de 0,07 microT ou de pics à 1.6 microT)
ALS (à partir de 20 ans d’exposition)
Ou possible
Infarctus (à partir de 5 ans d’exposition)

Rapport intégral original sur : http://www.dhs.cahwnet.gov/ps/deodc/ehib/emf/RiskEvaluation/riskeval.html

http://csifcem.free.fr/neutra_2002.htm

 

Tumeurs cérébrales et malignes : L. Hardell, Calberg,Physiopatholgy, 2013 p.85-110 cité par Brossard et Milesi dans « La Pollution électromagnétique » Ed Terre Vivante, 20018 :« L’étude de Hardell et al. Portant sur les tumeurs cérébrales malignes a montré très clairement que l’usage du téléphone mobile et du DECT (téléphone fixe sans-fil) augmente le risque de tumeurs cérébrales malignes. L’étude des corrélation statistique a porté sur 1655 personnes atteintes de tumeurs cérébrales, dont les usages de la téléphone mobile ont été méthodiquement analysés. Les publications qui mentionnent des cas de gliomes diagnostiqués entre 1997 et 2009 montrent une relation de dose à effet, c’est à dire que le risque de tumeur était multiplié par deux pour les personnes ayant téléphoné plus de 1486 heures. Ceci correspond approximativement à 30 minutes ou plus de téléphone par jour pendant dix ans. Un risque particulièrement élevé a été découvert pour les utilisateurs de la téléphonie 3G, augmentant là aussi avec la dose.

Cette étude, la première à s’intéresser au risque chez les jeunes a montré que le risque était accru de 400 % à 700 % pour ceux qui ont commencé à se servir d’un téléphone mobile avant l’âge de vingt ans »

 

 

Mission interministérielle de lutte contre les drogues et conduites addictives:

01/08/2018 http://www.drogues.gouv.fr/comprendre/ce-qu-il-faut-savoir-sur/lexposition-aux-ecrans

« Selon des données scientifiques, généralement britanniques ou nord-américaines reprises en

France par un site de référence https://lebonusagedesecrans.fr, tel que cité ci-dessous, le temps passé devant un écran est corrélé à une forme physique moins bonne et à des problèmes de santé mentale et de développement social. Une pratique excessive peut avoir des conséquences :

 sur le développement du cerveau et de l’apprentissage des compétences fondamentales. Les enfants surexposés aux écrans ont plus de risques de souffrir d’un retard de langage que les autres. Une étude récente menée par des chercheurs québécois et américains a mis en évidence l’impact sur le long terme d’une exposition importante aux écrans dans les premières années de vie. Cette étude a montré que chaque heure

supplémentaire passée devant la télévision par un enfant en bas âge diminuait ses performances scolaires à l’âge de 10 ans : moindre intérêt pour l’école, moindre habileté au plan mathématique. Cette surexposition précoce entraînait également une moindre autonomie, une moindre persévérance et une intégration sociale plus difficile avec notamment un risque accru de souffrir d’une mise à l’écart par ses camarades de classe.

 sur les capacités d’attention et de concentration : ceci est vrai même si l’enfant se trouve dans une pièce avec la télévision allumée sans qu’il la regarde.

 sur le bien-être et l’équilibre des enfants : d’après une enquête réalisée par le Public Health England (ministère de la Santé britannique), les enfants qui passent trop de temps devant les écrans (télévision, ordinateur, console ou téléphone portable) seraient moins heureux, plus anxieux et plus déprimés que les autres. Au-delà de quatre heures par jour, le risque de voir apparaître des problèmes émotionnels et une mauvaise estime de soi seraient notamment considérablement accrus. Ce temps passé devant les écrans

empiéterait en outre sur le temps consacré à d’autres activités récréatives (sport, jeu avec des amis), qui sont essentielles pour apprendre certaines valeurs (partage, respect de l’autre) et ont un impact positif reconnu sur le bien-être des enfants.

 sur le comportement : les enfants qui passent beaucoup de temps devant des contenus violents (jeu vidéo ou télévision) sont plus agressifs et plus enclins à se battre, plus impulsifs. Par ailleurs, la surexposition des plus petits risque d’entraîner une attitude passive face au monde qui les entoure. »

 

 

Ancien président de Facebook, Sean Parker :« Comment est ce qu’on absorbe le plus possible de votre temps et de votre attention consciente ? (…) Dieu sait ce que ça fait au cerveau de nos enfants (…). Les inventeurs, les créateurs – comme moi, Mark [Zuckerberg], Kevin Systrom d’Instagram et tous ces gens – avions bien compris cela, c’était conscient. Et on l’a fait quand même.» www.lemonde.fr/pixels/article/2017/12/12/d-anciens-cadres-de-facebook-expriment-leur-culpabilite-d-avoircontribue-a-son-succes_5228538_4408996.html

Les patrons de la Silicon Valley (Apple, Google, Twitter…) interdisent la high tech à leurs enfants : « C’est parce que nous connaissons personnellement les dangers de la technologie » (…) un des cofondateurs de Twitter, dont les enfants ont accès à des livres et non à des iPad (…) Steve Jobs : à la question « Vos enfants aiment-ils les iPad ? », le fondateur emblématique d’Apple avait répondu au New York Times,  en 2010, qu’ils n’en avaient jamais utilisé. » https://www.francetvinfo.fr/monde/ameriques/ces-patrons-de-la-silicon-valley-qui-interdisent-la-high-tech-a-leurs-enfants_695203.html

 

Microsoft informe les publicitaires de la baisse d’attention de leurs cibles : « La concentration à long terme s’affaiblit à mesure que la consommation de contenu numérique, l’utilisation de médias sociaux et le savoir-faire en matière de technologie augmentent ». Microsoft Canada, « Capacité d’attention. Approche client », printemps 2015

 

Claude Gronfier, chercheur à l’Inserm : une heure à une heure trente de sommeil par jour est perdue à cause de la « lumière bleue chronotoxique» des écrans et de la cyber-navigation nocturne (Le Monde, 15/03/16)

.

Virginia Berninger, professeur à l’Université de Washington « Nous avons constaté que les élèves, jusqu’à la classe de sixième, écrivaient plus rapidement, avec plus de mots, et exprimaient plus d’idées s’ils écrivaient à la main plutôt qu’avec un clavier».

Université de Princeton : « Les étudiants qui prennent des notes sur les ordinateurs portables sont ceux qui ont obtenu les pires résultats sur les questions conceptuelles… » (…) État de Louisiane, les élèves du CE1 à la terminale auront à nouveau des cours d’écriture après l’adoption d’une loi (Washington Post- http://m.slate.fr/story/149070/prendre-notes-stylo-apprentissage-plus-jeunes

 

Communiqué de l’association Priartem 10 décembre 2017 : Portables interdis à l’école en France en 2018, Ministre de l’Éducation, : «Le ministre l’a d’ailleurs lui-même évoqué puisqu’il a profité de cette annonce pour mettre en garde contre un usage précoce des écrans, indiquant disposer, tout comme Mme la Ministre de la Santé, d’études sanitaires concernant ce problème. Il a ainsi souligné dans un «message de santé publique qui concerne les familles», qu’au-delà du seul cadre scolaire, il est «bon» que les enfants «ne soient pas, trop, voire pas du tout, devant les écrans avant l’âge de sept ans» (émission le Grand jury RTL-Le Figaro-LCI du 10 décembre) (…).

 

Académie américaine de pédiatrie – Communiqué Robin des Toits (extraits) – 18/01/2017

« En mai dernier, le U.S. National Toxicology Program (NTP) publiait les résultats préliminaires d’une étude démontrant que l’exposition aux micro-ondes émises par un téléphone portable augmente significativement la prévalence de rares cancers très malins du cerveau et des nerfs cardiaques chez des rats. Cette étude a révélé hors de tout doute que ces radiofréquences (RF) causent les mêmes types de tumeurs chez les rats que celles dont l’incidence est plus élevée chez les humains qui téléphonent trente minutes par jour en moyenne pendant au moins dix ans. Fait significatif, les risques augmentent en fonction de la dose d’exposition. Depuis, à Berkeley, en Californie, les vendeurs de téléphones portables doivent aviser leurs clients que s’ils portent sur leur corps un appareil allumé et connecté à un réseau sans fil, ils risquent de dépasser les lignes directrices fédérales d’exposition aux rayonnements de radiofréquences. L’industrie combat férocement le règlement de Berkeley devant les tribunaux. Ces résultats ont également motivé l’Académie américaine de pédiatrie (AAP) à resserrer les recommandations qu’elle fait aux parents concernant l’usage du téléphone portable par leurs enfants ainsi que par eux-mêmes. L’AAP rappelle que la norme fédérale américaine limitant le rayonnement des téléphones portable n’a pas été mise à jour depuis 1996. Cette limite autorisée aux États-Unis, de 1,6 W/kg, vise seulement à prévenir l’échauffement des tissus du corps et non les effets non thermiques comme les dommages à l’ADN et le cancer. « Les organismes de réglementation doivent formuler des recommandations musclées afin que les consommateurs prennent des mesures de précaution et évitent un contact étroit avec leurs téléphones portables, et en particulier qu’ils limitent ou évitent l’utilisation des téléphones portables par les enfants. En effet, les crânes des enfants sont plus minces, leur cerveau pouvant absorber plus de rayonnement et leur système nerveux en développement est plus sensible aux agents qui endommagent les tissus humains (…) ».

 

Ministère de la Santé britannique, Independent Expert Group on Mobile Phone, rapport Stewart, 2000

« Les enfants sont peut-être plus vulnérables du fait de leur système nerveux en développement, de la plus grande absorption d’énergie des tissus de leurs têtes et d’une plus longue exposition au cours de leur vie. En accord avec une approche de précaution, nous croyons en ce moment que l’utilisation répandue de téléphones mobiles par des enfants pour des appels non essentiels devrait être découragée. Nous recommandons aussi que l’industrie de la téléphonie cellulaire s’abstienne de promouvoir l’utilisation de ses appareils par des enfants » (Blank, p 236).

 

Livre Forget (p. 69) Pr Stewart, du rapport homonyme :

« Si vous avez un adolescent et que vous pensez qu’un téléphone portable peut l’aider en terme de sécurité, c’est un choix personnel, mais je ne vois pas quelle peut être la justification pour des enfants de 3 à 8 ans. (…) Je ne pense pas que l’on puisse dire, la main sur le cœur, que les téléphones portables sont sans danger. »

« Il préconise par ailleurs d’éviter d’installer des antennes-relais à proximité des écoles car « si les émissions émanant de ces antennes ne représentent qu’un faible pourcentage des émissions reçues d’un téléphone portable, elles sont diffusées de manière continue tout au long de la journée ». »

 

Livre Forget (p. 67) France, ministère de la Santé, 2008 « plusieurs études scientifiques parues récemment mettent en évidence la possibilité d’un risque faible d’effet sanitaire lié aux téléphones mobiles à près une utilisation intense et de longue durée (plus de dix ans) (…) l’hypothèse d’un risque ne pouvant être totalement exclue, une approche de précaution est justifiée. Aussi le ministère (…) invite-t-il les familles et les parents à la prudence et au bon usage dans leurs achats et utilisation de tels dispositifs ».

 

Livre Gouhier (p. 169) Comité national russe de protection contre les radiations non ionisantes, 2008. Sévère mise en garde :

« Dans un futur proche, les enfants utilisateurs de téléphone mobile seront vraisemblablement confrontés aux risques pour la santé suivants : perturbation de la mémoire, baisse de l’attention, diminution de l’apprentissage et des capacités cognitives, augmentation de l’irritabilité, problèmes de sommeil, accentuation de la sensibilité au stress, accroissement de prédispositions épileptiques.

Risques sanitaires à venir (possibles) attendus : tumeurs au cerveau, tumeurs des nerfs acoustiques et vestibulaires (vers l’âge de 25-30 ans), maladie d’Alzheimer, démence, syndrome dépressif, et autre types de dégénérescence des structures du cerveau (vers 50 à 60 ans).

Les membres du Comité national russe mettent en exergue l’ultime urgence de défendre la santé des enfants de l’influence des EMF des systèmes de télécommunication mobile. Nous appelons les autorités gouvernementales et l’ensemble de la société à porter la plus grande attention à cette menace imminente et à prendre les mesures adéquates de prévention conte les ondes négatives sur la santé de la génération future. (…) Nous croyons que ce risque n’est pas plus faible que ceux liés au tabac ou à l’alcool sur la santé des enfants. Il est de notre devoir professionnel de ne pas laisser se dégrader la santé des enfants sans agir. »

 

Livre Gouhier (p. 158) Om P. Gandhi, université Utah, 1996 : un cerveau enfant absorbe 50 % de rayonnements en plus qu’un adulte = si un DAS est de 2,93 alors pour un enfant de 10 ans c’est 3,21, et 4,49 W/kg pour un enfant de 5 ans.

En 2008, une étude de l’opérateur Orange trouve des conclusions similaires.

 

Livre Blank

– 1979, Nancy Wertheimer : corrélation entre EBF lignes électriques et leucémie (très faibles niveaux de rayonnement) ;

cela crée une controverse et nouvelles études dont celle de Milham (voir page 8), qui examine les certificats de décès de tous les coins des États-Unis à la période de mise en place du réseau électrique : pic de leucémie vers 3-4 ans = arrivée de l’électricité. (p. 234)

– en 2002, le Centre international de recherche sur le cancer (CIRC) analyse ces données = EBF « classées comme cause possible de cancer » (en 2011 évaluation similaire pour RF et MO, même conclusion). (p. 235)

 

– L’Institut espagnol de Recherche en Neurodiagnostic (Marbella, Espagne) met en évidence en 2004 qu’une conversation de deux minutes sur un mobile perturbe l’activité cérébrale d’un enfant une heure durant. (Forget p. 93)

 

Livre Gouhier

(p. 161) Revue Epidemiology, 2008, Danemark, 13 000 enfants de 7 ans entre 2005-2007, dont 10 % troubles de l’attention = 54 % si leur mère durant la grossesse utilise mobile 2-3 fois par jour, et 80 % si l’enfant utilise lui-même un portable.

(p. 165) Conférence Royal Society, Londres, 2008 : l’épidémiologiste et cancérologue Lennart Hardell explique que les données disponibles suggèrent une hausse globale de 70 % du risque de tumeurs cérébrales au delà de 10 ans d’utilisation, et que les adolescents ayant commencé à se servir largement du portable avant 20 ans ont 5 fois plus de risque de développer un cancer avant l’âge de 30 ans que ceux qui n’ont pas de portable.

Dominique Belpomme , Lennart Hardell, Igor Belyaev, Ernesto Burgio, David, O. Carpenter, Revue « Environmental Pollution », juillet 2018 « Effets sanitaires thermiques et non thermiques des rayonnements non ionisants de faible intensité : un état des lieux international » ccaves.org/blog/wp-content/uploads/lexprecia-citoyens-c-enedis-sa-piece-43-1.pdf

« Divan et al (2008) ont rapporté que l’exposition prénatale et, à moindre degré,post-natale, aux téléphones portables est associée à des problèmes émotionnels et d’hyperactivité chez les enfants âgés de 7 ans. Ce résultat a été confirmé en refaisant l’étude avec des participants différents (Divan et al., 2012). Birks et al. (2017) ont utilisé des données de cinq études de cohortes issues de cinq pays différents (83 884 enfants) et ont conclu que l’utilisation du téléphone portable pendant la grossesse augmente le risque de problèmes d’hyperactivité et d’inattention de l’enfant. Une méta-analyse portant sur 125 198 enfants (âge moyen de 14,5 ans) a montré des associations statistiquement significatives entre l’accès et l’utilisation d’appareils multimédias portables à écran (par exemple, téléphones portables et tablettes) et une qualité et quantité de sommeil insuffisantes, ainsi que l’excès de somnolence diurne (Carter et al., 2016). L’exposition en bas âge, au plomb, a longtemps été connu pour provoquer une diminution de la fonction cognitive et une durée d’attention réduite (Needleman et al., 1979). Deux études ont démontré que l’exposition prénatale (Choi et al., 2017) ou post-natale (Byun et al., 2017) au téléphone portable avait pour conséquence des effets neurocomportementaux plus importants chez les enfants ayant des niveaux élevés de plomb que ceux observés chez les enfants présentant uniquement de tels niveaux de plomb. Ces résultats soulèvent des inquiétudes sur le fait que les champs électromagnétiques peuvent avoir des actions synergiques avec d’autres contaminants environnementaux connus pour provoquer une réduction du quotient intellectuel (QI) et de l’attention, tels que polychlorobiphényles (PCB), mercure méthylé, fumée de tabac ambiante et probablement d’autres encore (Carpenter, 2006). »

 

 

Les incubateurs ou couveuses (enfants prématurés)

– Le pédiatre Carlo Valerio Bellieni, de l’université de Sienne, montre une hausse de la production de mélatonine de 15 % peu après la sortie de l’incubateur, une fois les champs redevenus plus proches du niveau ambiant normal (0,1 milligauss). Car les couveuses « créeent des CEM d’environ 12 mG à la tête (…), plusieurs fois le niveau de 3 à 4 mG qui a été associé à un risque accru de leucémie ». (Blank, p. 237)

 

Les dispositifs de surveillance pour bébés

Des mesures rassurantes en Suisse ont trouvé des CEM « sous la limite des champs électriques de 2 V/m à 1/Vm » et « de 0,5 à 4 % de la limite de 2 W/kg » recommandée en 1998 par le CIPRNI comme seuil pour le DAS, « mais il a été démontré que de telles expositions étaient associées à des changements physiologiques importants, comme la stimulation de la synthèse de protéines au cours de la réaction cellulaire au stress. » (p. 238)

 

USA : Communiqué de Presse de l’Association Nationale pour la sûreté des technologies utilisées par les enfants (NACST) – Promotion du filaire et abandon du sans-fil dans les écoles – 10/02/2015

https://www.robindestoits.org/USA-Communique-de-Presse-de-l-Association-Nationale-pour-la-surete-des-technologies-utilisees-par-les-enfants-NACST_a2289.html
« Etat de la Science : Le débat est clos. l’Oncologue Lennart Hardell, MD, PhD et le Statisticien Michael Carlberg de l’Hopital Universitaire d’Obrero, en Suède ont trouvé un risque de cancer 3 fois plus élevé après 25 ans ou plus d’utilisation de téléphones sans fil dans une étude publiée en Octobre 2014 dans la revue Pathophysiology:  http://dx.doi.org/10.1016/j.pathophys.2014.10.001
Un élément significatif a été la découverte que les personnes ayant utilisé un portable ou un téléphone sans fil avant l’age de 20 ans présentaient le risque le plus élevé. Les auteurs démontrent que les Radio-Fréquences et les Champs Electro-Magnétiques doivent être considérés comme carcinogène pour les êtres humains exigeant une révision urgente des recommandations actuelles en matière d’exposition.
Cette étude fait suite à l’étude CERENAT de juillet 2014  » case controlled study publiée dans la revue « Occupational and Environmental Medicine  » dans laquelle des chercheurs français ont trouvé une augmentation du cancer du cerveaux multiplié par 3 après 896 heures ou plus d’utilisation d’un téléphone sans fil au long cours :  http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/24816517
Tenant compte de l’accumulation des recherches démontrant les effets sanitaires des radiations sans fil, le Professeur Olle Johansson PhD du département de neuroscience de Karolinska a déclaré : le débat est clos. »

 

« L’administration publique de santé de Salzburg a requis que la WIFI ne soit pas utilisée dans les écoles ou les nurseries. L’Association Médicale d’Autriche oppose un lobbying contre le déploiement

du Wi Fi à l’école » (http://www.mastsanity.org/index.php option=com_docman&task=doc_download&gid=2&Itemid=64 2005 2005)

 

Les paragraphes qui suivent proviennent du site de Robin des Toits :

 

https://www.robindestoits.org/GOUVERNEMENTS-ET-ORGANISATIONS-QUI-INTERDISENT-OU-METTENT-EN-GARDE-CONTRE-LA-TECHNOLOGIE-SANS-FIL-de-1993-a-2012_a1720.html

-2005: Salzburg, Le Département autrichien de Santé Publique interdit le WLAN et les téléphones DECT dans les écoles publiques. http://www.safeinschool.org/2011/01/wi-fi-is-removed-from-schools-and.html

 

https://www.robindestoits.org/GOUVERNEMENTS-ET-ORGANISATIONS-QUI-INTERDISENT-OU-METTENT-EN-GARDE-CONTRE-LA-TECHNOLOGIE-SANS-FIL-de-1993-a-2012_a1720.html

 

-2006: les écoles du Royaume-Uni retirent leurs réseaux sans fil: Prebandal école préparatoire, Chichester, West Sussex; école Ysgol Pantycelyn dans le Carmarthenshirem, Pays de Galles, et l’école de Stowe, dans le Buckinghamshire, en Angleterre. London Times, Novembre 20, 2006. http://www.timesonline.co.uk/tol/life_and_style/education/article642575.ece

-2007 : l’école primaire de Ballinderry, Irlande: Suppression de la Wi-Fi pour protéger les jeunes enfants. http://www.safeinschool.org/2011/01/wi-fi-is-removed-from-schools-and.html

-2007: en Bavière, le Parlement Allemand se prononce contre la Wi-Fi dans les écoles. http://www.icems.eu/docs/deutscher_bundestag.pdf

« Le parlement de Bavière a recommandé qu’aucune école de la province n’utilise de réseaux sans

fil type LAN. Le gouvernement de la ville de Francfort dit qu’il n’installera pas de Wi-Fi dans ses

écoles avant que ne soit faite la preuve formelle de leur innocuité. » (http://wifiinschools.org.uk/10.html)

https://www.robindestoits.org/Wi-fi-a-l-ecole-lettre-a-adresser-a-tes-parents-outils-pour-s-opposer-au-Wi-fi-a-l-ecole-en-tant-que-parent_a1715.html

 

-2008: la Commission internationale sur la sécurité électromagnétique (composé de scientifiques issus de 16 nations): recommande de limiter l’utilisation du téléphone cellulaire par les enfants, les adolescents, les femmes enceintes et les personnes âgées. http://www.icems.eu/resolution.htm

 

2008: l’Université Lakehead, en Ontario interdictions des téléphones Wi-Fi sur le campus. http://www.cbc.ca/news/canada/toronto/story/2010/08/15/ontario-wifi.html

2008: Madhya Pradesh, Inde: Interdiction des téléphones cellulaires dans les écoles pour, à la fois, les étudiants et les enseignants. http://www.indiaedunews.net/Madhya_Pradesh/Teachers, students_unhappy_with_mobile_phone_ban_in_schools_5241/,

2008: Bibliothèque Nationale de France: Supprime la Wi-Fi à cause de problèmes de santé et limite l’installation connexions câblées. http://www.next-up.org/pdf/FranceNationalLibraryGivesUpWiFi07042008.pdf

2008: Paris, France suppression de la Wi-Fi de quatre bibliothèques publiques en raison de problèmes de santé. http://www.accessmylibrary.com/coms2/summary_0286-35451555_ITM

2008: Sainte-Geneviève Université, Paris: Suppression de la connexion Wi-Fi dans sa bibliothèque en raison de problèmes de santé. http://www.next-up.org/pdf/AnalysisWiFiHotSpotsDeactivationSainteGenevieveLibraryParis24052008.pdf

2008: Ligue progressiste des bibliothécaires s’oppose à la technologie sans fil dans les bibliothèques. http://libr.org/plg/wifiresolution.php

2008: L’Institut du Cacncer à l’Université de Pittsburgh: Les enfants ne devraient jamais utiliser un téléphone cellulaire, sauf en cas d’urgence. http://www.post-gazette.com/pg/08205/898803-114.stm

2008: Voice (Union des enseignants du Royaume-Uni) appelle à une interdiction de la Wi-Fi dans les écoles. http://www.voicetheunion.org.uk/index.cfm/page/_sections.content.cfm/cid/1326/navid/434/parentid/330

2009: Hérouville Saint-Clair, France: Interdiction de la Wi-Fi dans les écoles publiques. http://www.wifiinschools.org.uk/4.html

 

2009: l’Etat de Karnataka, en Inde: les téléphones cellulaires sont interdits dans toutes les écoles et les collèges pré-universitaires. http://www.hindu.com/2009/09/14/stories/2009091454460500.htm

 

Décembre 2010: Le Parlement français adopte une loi interdisant la publicité pour les téléphones cellulaires pour les enfants de moins de 14 ans; interdit aux enfants jusqu’à 14 ans d’utiliser des téléphones cellulaires dans les écoles maternelles et les écoles publiques; demande que les téléphones cellulaires soient étiquetés avec les valeurs SAR et avec la recommandation d’utiliser des écouteurs. http://www.enviroblog.org/2010/12/french-cell-phone-radiation-disclosure-at-point-of-sale.html

LOI n° 2010-788 du 12 juillet 2010 portant engagement national pour l’environnement / publicité interdite à destination des enfants de moins de 14 ans

«  Art. L. 511-5. – Dans les écoles maternelles, les écoles élémentaires et les collèges, l’utilisation durant toute activité d’enseignement et dans les lieux prévus par le règlement intérieur, par un élève, d’un téléphone mobile est interdite. »

« Art. L. 5231-3. – Toute publicité, quel qu’en soit le moyen ou le support, ayant pour but direct de promouvoir la vente, la mise à disposition, l’utilisation ou l’usage d’un téléphone mobile par des enfants de moins de quatorze ans est interdite.
« Art. L. 5231-4. – La distribution à titre onéreux ou gratuit d’objets contenant un équipement radioélectrique dont l’usage est spécifiquement dédié aux enfants de moins de six ans peut être interdite par arrêté du ministre chargé de la santé, afin de limiter l’exposition excessive des enfants. »
https://www.robindestoits.org/LOI-n-2010-788-du-12-juillet-2010-portant-engagement-national-pour-l-environnement-publicite-interdite-a-destination-des_a1126.html

30 août 2011: Le ministère israélien de l’Éducation publie directives limitant strictement l’utilisation des téléphones mobiles sur tous les terrains scolaires, faisant état de l’augmentation du risque de tumeurs malignes pour des enfants et des jeunes et aussi de l’ « exposition passive » supportée par les enfants qui n’utilisent pas de téléphone.
http://norad4u.blogspot.com/2011/09/israeli-ministry-of-education-is-going.html

8 septembre 2011: Pretty River Academy à Collingwood, en Ontario, retire la WiFi du campus par mesure de précaution, rejoignant l’école Montessori « Des racines et des ailes » de Surrey, en Colombie-Britannique. http://www.safeschool.ca/uploads/CTV_School_cuts_WiFi.pdf; http://www.safeschool.ca/School_Bans_WiFi.html; http://www.safeschool.ca/School_Bans_WiFi.html

 

Pour sa part, le Professeur SALFORD, éminent spécialiste du domaine a dit :

« Un adolescent qui a un portable contre la tête une demi-heure ou plus par jour aura un ALZHEIMER à trente ans ». https://www.robindestoits.org/attachment/95959/

 

Autisme et troubles du comportement

 

 

Par l’association Next-Up, lire ici

 

…………………………..

 

https://www.robindestoits.org/Comment-les-telephones-mobiles-peuvent-causer-l-autisme-Dr-Mercola-27-11-2007_a1038.html

Dr Joseph Mercola : « Les Rayonnements Électromagnétiques pourraient être le lien absent.
L’étude, qui a impliqué sur cinq ans des recherches sur des enfants atteints d’autisme et d’autres désordres de sensibilité similaires, a constaté qu’une irradiation aux rayonnements électromagnétiques affecte négativement les membranes de cellules, et permet aux toxines des métaux lourds, qui sont associées à l’autisme, de s’accumuler dans le corps. En attendant, les chercheurs ont précisé que les taux d’autisme ont augmenté concurremment avec la prolifération des téléphones mobiles et de l’utilisation généralisée des liaisons sans fil.
Les chercheurs pensent que l’irradiation par les rayonnements électromagnétiques (REM), pourraient affecter directement le développement de l’autisme en facilitant dès le départ des symptômes ou en emprisonnant les métaux lourds à l’intérieur des cellules des nerfs, ce qui pourraient accélérer le début des symptômes de la toxicité dus aux métaux lourds et gêner le dégagement thérapeutique des toxines.
Se référant à l’élévation spectaculaire des taux d’autisme, le Dr. George Carlo, co-auteur de l’étude, déclare, « une élévation de cette grandeur doit avoir une cause environnementale importante. Nos données offrent une explication mécanistique raisonnable pour une relation entre autisme et technologie sans fil. » Ils proposent également que les dispositifs sans fil générant des CEM entrent en synergie dans le temps avec d’autres facteurs environnementaux et génétiques pour causer favoriser l’autisme ».

 

Etude : Australian Journal of Clinical Environnemental Medecine, 2007.

– Utilisation du téléphone portable et troubles comportementaux chez l’enfant’ – Divan HA et al. – Etude américaine – 22/09/2010 Hozefa A Divan, Leeka Kheifets, Carsten Obel, Jørn Olse
Cette étude est une réplication de : ‘Exposition prénatale et postnatale au téléphone portable et troubles comportementaux chez l’enfant’ – Divan HA. et al – Juil. 2008

« Méthodes Pour voir si un groupe distinct d’enfants de DNBC plus importants produirait des résultats similaires après avoir considéré des facteurs de confusion supplémentaires, les enfants de mères qui pourraient mieux représenter les utilisateurs actuels de téléphones portables ont été analysés. Ce «nouvel» ensemble de données comprenait 28 745 enfants ayant rempli les questionnaires Age-7 jusqu’en décembre 2008.

Résultats La plus grande OR pour les problèmes de comportement concernait les enfants ayant eu une exposition prénatale et postnatale à des téléphones cellulaires par rapport aux enfants non exposés pendant les deux périodes. L’estimation de l’effet ajusté était de 1,5 (IC à 95%: 1,4 à 1,7).

Conclusions Les conclusions de la publication précédente ont été reproduites dans ce groupe de participants distinct démontrant que l’utilisation du téléphone portable était associée à des problèmes de comportement à l’âge de 7 ans chez les enfants et que cette association n’était pas limitée aux premiers utilisateurs de la technologie. Bien que plus faible dans le nouvel ensemble de données, même avec un contrôle supplémentaire pour un ensemble étendu de facteurs de confusion potentiels, les associations restaient ».

https://translate.google.com/translate?hl=fr&sl=en&u=https://jech.bmj.com/content/early/2010/11/11/jech.2010.115402&prev=search

 

Association de médecins Alerte Ecran : « Nous, professionnels de la santé et de la petite enfance (…) recevons de très jeunes enfants stimulés principalement par les écrans, qui, à trois ans, ne nous regardent pas quand on s’adresse à eux, ne communiquent pas, ne parlent pas, ne recherchent pas les autres, sont très agités ou très passifs. (…) La surexposition aux écrans est pour nous, une des causes de retard grave de développement sur laquelle nous pouvons agir de façon efficace. »

L’exposition des jeunes enfants aux écrans est devenue un enjeu de santé publique majeur (tribune)

 

 

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